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Jean-Claude THIMOLÉON JOLY EI
Bio-énergéticien-Géobiologue, Enseignant Reiki, Toucher Quantique et LaHoChi Phytothérapeute, Aromathérapeute, communication animale, formateur, conférencierPhytothérapie, Aromathérapie, Conférences, enseignements
Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
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ARTICLES / PSYCHOLOGIE

LOWEN ET LA BIO-ÉNERGÉTIQUE - 2 -

article de Jean-Claude THIMOLÉON JOLY, publié le 13 avril 2017
14 minutes 1232 2



La structure de caractère psychopathe

Définition

Cette structure de caractère nécessite quelques explications. Elle peut être une structure très complexe. L’essence de l’attitude psychopathe est la dénégation de l’émotion. Cette attitude contraste avec celle du schizoïde qui se dissocie de ses émotions. Chez la personnalité psychopathe, le Moi ou l’esprit se tourne contre le corps et ce qu’il ressent, en particulier les impressions sexuelles. De là l’emploi du terme « psychopathologie ». La fonction normale du Moi est de soutenir les pulsions du corps vers le plaisir, et non de les détourner au profit d’une image du Moi. Il y a chez tous les psychopathes un grand investissement d’énergie sur leur propre image. L’autre aspect de la personnalité est la recherche du pouvoir et le besoin de dominer et de contrôler.

La complexité de ce type de caractère tient à ce qu’il y a deux façons de prendre le pouvoir sur autrui. La première consiste à intimider ou à dominer l’autre ; auquel cas s’il ne relève pas le défi, il se transforme en victime. La seconde consiste à saper par une approche séductrice, très efficace sur quelqu’un de naïf, qui le fait tomber au pouvoir du psychopathe.

Etat bioénergétique

Deux types physiques différents correspondent aux deux structures psychopathes. Le type dominateur s’explique plus facilement au niveau bioénergétique, et je vais donc l’utiliser pour présenter cette structure caractérielle. On arrive à prendre le pouvoir sur autrui en s’élevant au-dessus de lui. On trouve chez se type caractériel un déplacement marqué d’énergie vers le haut du corps, accompagné d’une diminution de la charge dans le bas du corps. Les deux parties du corps sont disproportionnées de façon notable, le haut du corps ayant une apparence plus robuste et plus dominante.

Il y a en général une contraction bien déterminée au niveau de la taille et du diaphragme, qui bloque le déplacement d’énergie et d’émotion vers le bas du corps.

La tête a une surcharge énergétique, ce qui signifie qu’il y a hyper-excitation de l’appareil mental, ce qui entraîne une rumination continue sur la façon de garder le contrôle et de maîtriser les situations.

Les yeux sont attentifs et méfiants, ils ne s’ouvrent pas pour examiner les interrelations. Cette façon de fermer les yeux pour voir et pour comprendre est caractéristique de toutes les personnalités psychopathes.
Le besoin de contrôler se tourne aussi contre le soi. La tête est très fermement tenue (on ne doit jamais perdre la tête), mais en contrepartie, elle tient le corps fermement sous son emprise.

Caractéristiques physiques

Le haut du corps présente chez le type dominateur un développement disproportionné. Il donne l’impression d’avoir été gonflé, ce qui correspond à l’image boursouflée du Moi. On pourrait dire de cette structure que la tête est trop lourde. Le corps est rigide. Le bas du corps est plus étroit, et peut présenter la faiblesse typique de la structure de caractère orale.

Le caractère de second type, que j’ai appelé séducteur, ou « en dessous » est plus régulier et n’a pas l’aspect soufflé. Le dos est en général hyper-flexible.

Dans les deux cas, il y a des perturbations de la circulation entre les deux parties du corps. Chez le premier type le pelvis n’est pas assez chargé et il est bien maintenu ; chez le second il est trop chargé mais déconnecté. Les deux types présentent également une spasticité marquée du diaphragme.

Il existe également des tensions marquées de la partie oculaire du corps, qui comprend les yeux et la région occipitale.

On peut également palper des tensions musculaires fortes le long de la base du crâne, dans ce que l’on pourrait appeler le segment oral. Ces tensions représentent une inhibition de l’impulsion à téter

Corrélations psychologiques

La personnalité psychopathe a besoin de quelqu’un à contrôler, et, bien qu’il puisse en apparence le contrôler, il en est également dépendant. Il y a donc un certain degré d’oralité chez tous les psychopathes. Dans la littérature psychiatrique on les décrit comme présentant une fixation orale.

Le besoin de contrôler est étroitement lié à la peur d’être contrôlé. Etre contrôlé signifie être utilisé. Nous verrons qu’il y a dans l’historique de cette structure caractérielle une lutte pour la domination et le contrôle entre l’enfant et ses parents.

La volonté d’arriver au sommet et de réussir est si forte que le psychopathe ne peux ni admettre ni permettre l’éventualité d’une défaite. Elle le mettrait en position de victime, il doit donc être le vainqueur dans tous les conflits.

Il utilise toujours la sexualité dans ce jeu pour le pouvoir. Il séduit par son apparente puissance, ou par des façons douces et adroites. Le plaisir de la sexualité passe après la performance ou la conquête.

Nier l’émotion correspond fondamentalement à nier le besoin. La manœuvre du psychopathe consiste à faire en sorte que les autres aient besoin de lui pour qu’il n’ait pas à exprimer ce besoin. Il reste ainsi le mieux placé.

Facteurs historiques et étiologiques

Comme pour tous les types caractériels, l’historique explique le comportement. De façon générale, je peux dire que l’on ne comprend pas le comportement de quelqu’un si l’on ne connaît pas son histoire. L’une des missions principales de toute thérapie est donc d’élucider ce qu’a éprouvé le patient au cours de son existence. Cela est souvent très difficile avec cette personnalité, car la tendance psychopathe à nier l’émotion inclut le refus de ce qu’il a ressenti.

Le facteur étiologique le plus important de cette structure, c’est un parent séducteur au niveau sexuel. La séduction est masquée et a pour but de répondre aux besoins narcissiques du parent. Elle a pour but de lier l’enfant au parent.

Le parent séducteur est toujours un parent qui rejette l’enfant quant à ses besoins d’aide et de contact physique. Le manque de contact et de l’aide nécessaire explique l’élément oral de cette structure de caractère.

La relation séductrice crée un triangle qui met l’enfant en rivalité avec le parent de même sexe. Cela crée une barrière à l’identification au parent de même sexe et renforce l’identification au parent séducteur.

Dans une telle situation, toute recherche de contact laisserait l’enfant en position extrêmement vulnérable. Il va donc soit s’élever au-dessus du besoin (déplacement vers le haut), soit assouvir son besoin en manipulant les parents (type séducteur).
Il y a également chez la personnalité psychopathe un élément masochiste qui résulte de la soumission au parent séducteur. L’enfant ne pouvait pas se rebeller, ni échapper à la situation ; la seule défense possible était intérieure. La soumission n’est qu’apparente, néanmoins dans la mesure où l’enfant se soumet ouvertement il gagne une certaine intimité avec le parent.

L’élément masochiste est plus fort dans la variété sournoise ou séductrice de cette structure caractérielle. Le gambit (terme d’échec signifiant sacrifice) initial consiste à entamer la relation en tenant un rôle soumis masochiste. Puis, quand la séduction a eu lieu, et que l’attachement de l’autre est assuré, le rôle est retourné et le caractère sadique apparaît.

La structure de caractère masochiste

Description

Dans l’esprit du public, le masochisme est le désir de souffrir. Ce n’est pourtant pas le cas pour ceux qui ont cette structure caractérielle. Certes, ils souffrent, et comme ils sont incapables de modifier la situation, on en conclut qu’ils souhaitent rester ainsi. Nous ne parlons pas ici de perversion masochiste, comme être battu pour apprécier les rapports sexuels. La structure caractérielle masochiste décrit quelqu’un qui souffre et s’en plaint, et se lamente tout en restant soumis. La soumission constitue d’ailleurs, la tendance dominante du masochisme.

Si le masochiste fait preuve d’une attitude soumise dans son comportement extérieur, il est intérieurement à l’opposé. Au plus profond de lui-même, il ressent fortement de la rancune, de la négativité, de l’hostilité et de la supériorité. Cependant, ces émotions restent fortement bloquées par peur d’exploser par un schéma musculaire de rétention. Ses muscles épais et puissants bloquent toute revendication et ne permettent qu’aux complaintes et aux jérémiades de passer.

Etat bioénergétique

Par opposition à la structure orale, la structure masochiste est pleinement chargé énergétiquement. Cette charge reste cependant fermement retenue, mais non figée.

A cause de cette sévère rétention, les organes périphériques sont faiblement chargés, ce qui ne permet pas la décharge et la détente – c'est-à-dire que les actes expressifs sont limités.

La rétention est si forte qu’elle entraîne une compression et un effondrement de l’organisme. Cet effondrement se localise à la taille, là où le corps ploie sous le fardeau des tensions.

Les impulsions qui se déplacent vers le haut ou le bas sont étouffées dans le cou et la taille, ce qui explique la forte tendance de cette personnalité à ressentir de l’angoisse.

L’extension du corps, au sens de s’étendre ou de se tendre vers quelque chose, est gravement diminuée. Cette réduction de l’extension entraîne le raccourcissement décrit plus loin.

Caractéristiques physiques

Le masochiste typique a un corps court, épais et musclé.
Pour des raison inconnues, il y a en général une augmentation de la pilosité par rapport à la norme.

Le cou épais et court, dénotant le renfoncement de la tête dans les épaules, est particulièrement caractéristique. A cela correspond une taille plus courte et plus épaisse.

Une autre caractéristique importante est le déplacement vers l’avant du pelvis, que l’on peut décrire plus littéralement comme l’aplatissement du derrière. La posture ressemble à celle d’un chien qui rentre la queue entre les pattes.

Cette façon de rentrer le derrière est responsable, ainsi que la tension qui pèse dessus, de ce que le corps se plie ou se creuse à la taille.

On peut constater chez certaines femmes une combinaison de rigidité dans le haut du corps et de masochismes dans le bas, que révèle la lourdeur des fesses et des cuisses, le pelvis remonté et la coloration sombre de la peau, due à la stagnation de la charge.

La peau de tous les masochistes tend à avoir une teinte brunâtre, à cause de la stagnation de l’énergie.

Corrélations psychologiques

A cause de la sévérité de la rétention, l’agressivité est fortement réduite. De même, l’expression de soi est limitée.

Les plaintes et les jérémiades remplacent l’affirmation de soi. La plainte est la seule expression vocale pouvant traverser facilement le gosier contracté. Un comportement provocateur remplace l’agressivité ; il a pour but d’obtenir de l’autre une réaction énergique, assez forte pour permettre au masochiste de réagir violemment et d’exploser sexuellement et autrement.

La stagnation de la charge, due à la forte rétention, conduit à l’impression d’être « embourbé », incapable de se déplacer librement.

L’attitude de soumission et le fait de chercher à plaire sont caractéristiques du comportement masochiste. Au niveau conscient, la masochiste s’identifie à son désir de plaire ; mais au niveau inconscient cette attitude est niée par la rancune, la négativité et l’hostilité. Il faut libérer ces émotions refoulées pour que le masochiste puisse réagir librement aux situations de son existence.

Facteurs historiques et étiologiques

La structure masochiste se développe dans une famille où l’on trouve amour et acceptation combinés à de sévères pressions. La mère est dominatrice et se sacrifie ; le père est passif et soumis.

La mère dominatrice et qui se sacrifie étouffe littéralement l’enfant, en le faisant se sentir extrêmement coupable de toute tentative pour affirmer sa liberté ou prendre une attitude négative.

On rencontre typiquement une forte fixation de l’intérêt sur la nourriture et la défécation. Ceci occasionne des pressions du haut comme du bas : « Sois gentil. Fais plaisir à maman. Finis ton assiette… et va aux toilettes régulièrement. Montre à maman », etc.

Toutes les tentatives de résistance, y compris les éclats de rage, étaient écrasées. Tous ceux qui ont une structure de caractère masochiste avaient des accès de colère, enfants, auxquels ils furent forcés de renoncer.

Ils avaient fréquemment l’impression d’être pris au piège, qui ne permettait qu’une réaction de rancune et finissait par l’auto-défaite. L’enfant ne pouvait trouver aucune issue.

Le patient a lutté dans son enfance avec une profonde impression d’humiliation chaque fois « qu’il se laissait aller librement » - sous la forme de vomissements, de souillures ou de défis.

Le masochiste a peur d’étendre ses membres ou de dresser le cou (il en va de même pour ses organes génitaux) de peur qu’on l’en détache ou qu’ils se détachent. Il y a chez ce caractère une forte angoisse de castration. La peur la plus significative est celle d’être détaché des relations parentales, qui procurent de l’amour – mais sous conditions.

La structure de caractère rigide

Description

Le concept de rigidité vient de la tendance de ces individus à se tenir raides, par fierté. La tête est portée bien haute, la colonne vertébrale droite. Ce seraient des traits positifs si ce n’était que la fierté est défensive et la rigidité opiniâtre. Le caractère rigide a peur de céder, parce que cela signifie pour lui la soumission et l’effondrement. La rigidité devient une défense contre une tendance masochiste sous-jacente.

Le caractère rigide se tient sur ses gardes pour qu’on ne tire pas avantage de lui, qu’on ne l’utilise pas et qu’on ne le piège pas. Cette vigilance prend la forme d’une rétention des impulsions à s’ouvrir et à se tendre. La rétention signifie aussi « tenir le dos droit », d’où la rigidité. La capacité de rétention vient de la forte position du Moi et d’un haut degré de contrôle sur le comportement. Elle est également aidée par une forte position génitale, qui ancre la personnalité par les deux extrémités du corps et assure un bon contact avec la réalité. Malheureusement, l’accent mis sur la réalité sert de défense contre les pulsions vers le plaisir, se laisser aller, et cela constitue le conflit sous-jacent de la personnalité.

Etat bioénergétique

Il y a chez cette structure une assez forte charge de tous les points de contact périphériques avec l’environnement, ce qui favorise l’aptitude à tester la réalité avant d’agir.

La rétention est périphérique, ce qui permet aux émotions de circuler mais limite leur expression.

Les principales zones de tension sont les muscles longs. Les spasticités des muscles extenseurs et fléchisseurs se combinent et provoquent la rigidité.
Il y a bien entendu, divers degrés de rigidité. Lorsque la rétention est légère, la personnalité est vibrante et vivante.

Caractéristiques physiques

Le corps du caractère rigide est bien proportionné, l’ensemble est harmonieux. Le corps paraît et se sent intégré et lié. Malgré cela, on peut retrouver certains éléments des troubles et des distorsions décrites pour les autres types.

La vitalité du corps est une caractéristique importante : les yeux brillants, le teint coloré, la vitalité des gestes et des mouvements.

Si la rigidité est importante, il y a une réduction correspondante des éléments positifs notés ci-dessus, la coordination et la grâce des mouvements sont moindres, les yeux perdent de leur éclat et le teint peut devenir pâle ou grisâtre.

Caractéristiques psychologiques

Les individus relevant de cette structure caractérielle sont orientés vers le monde, ambitieux, compétitifs et agressifs. Ils ressentent la passivité comme une vulnérabilité.

Le caractère rigide peut être obstiné, mais il est rarement rancunier. Son obstination dérive en partie de sa fierté ; il a peur de paraître insensé s’il se laisse aller, et donc il se retient. Cela dérive en partie de sa peur : la soumission pourrait entraîner une perte de liberté.

La bioénergétique a adopté le terme « caractère rigide » pour décrire le facteur commun à plusieurs personnalités qui avaient des noms différents. Il comprend donc l’homme phallique et narcissique dont l’intérêt se centre sur la puissance érective, et le type victorien de femme hystérique décrit par Reich, qui se sert du sexe comme d’une défense contre la sexualité. Le terme démodé de caractère compulsif fait également parti de cette vaste catégorie.

La rigidité de ce caractère est celle de l’acier. On rencontre également de la rigidité dans la structure schizoïde où, à cause de l’état figé de l’énergie, elle est aussi cassante que la glace. En général, le caractère rigide affronte le monde avec efficacité.

Facteurs historiques et étiologiques

L’historique de cette structure est intéressant parce que quelqu’un qui a ce caractère n’a pas subi de gaves traumatismes qui créent les positions défensives plus sérieuses.

Le traumatisme significatif fut dans ce cas l’expérience de frustration de la pulsion de gratification érotique, spécialement au niveau génital. Cela se produisit à cause de la prohibition de la masturbation infantile, et aussi par la relation au parent de sexe opposé.

L’enfant considéra le rejet de ses pulsions vers le plaisir érotique et sexuel comme une trahison de sa demande d’amour. Dans l’esprit d’un enfant, le plaisir érotique, la sexualité et l’amour sont synonymes.

Grâce au fort développement du Moi, le caractère rigide n’a pas renoncé à cette connaissance consciente. Son cœur n’est pas séparé de la périphérie. C’est quelqu’un qui agit avec son cœur, mais avec des contraintes et sous le contrôle du Moi. L’état désiré serait d’abandonner ce contrôle et de laisser le cœur l’emporter.

Comme l’expression ouverte de son amour en tant que désir d’intimité physique et de plaisir érotique s’est heurtée au rejet parental, le caractère rigide agit de façon indirecte et reste sur ses gardes pour atteindre son but. Il ne manipule pas, comme le fait le psychopathe ; il manœuvre pour obtenir l’intimité.

L’importance de sa fierté réside en ce qu’elle est liée à cette impression d’amour. Le rejet de son amour sexuel blesse sa fierté. De la même façon, une insulte à sa fierté est un rejet de son amour.

Pour finir, je ne parle pas du traitement de ces problèmes, parce que les thérapeutes ne traitent pas des types caractériels mais des individus. La thérapie se centre sur l’individu et ses relations immédiates : avec son corps, avec le sol sur lequel il se tient, avec les personnes qui lui importent et avec le thérapeute.














© Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/thimoleon

Mots clés : psychiatrie,psychologie,comportement,posturologie

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