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Jean-Claude THIMOLÉON JOLY EI
Bio-énergéticien-Géobiologue, Enseignant Reiki, Toucher Quantique et LaHoChi Phytothérapeute, Aromathérapeute, communication animale, formateur, conférencierPhytothérapie, Aromathérapie, Conférences, enseignements
Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
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ARTICLES / COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES

LA PROPOLIS, L'INDISPENSABLE COMPLÉMENT - 2 -

article de Jean-Claude THIMOLÉON JOLY, publié le 19 avril 2017
6 minutes 575 1



Propriétés bactéricides et bactériostatiques

Les différentes études et particulièrement celles du professeur Lindenfelser montre une activité bactéricide très puissante. Un test clinique réalisé sur des culture de streptocoques a fait ressortir le mécanisme antibactérien de la Propolis en montrant qu’elle stimulait à tel point l’activité des bactériophages, que ceux-ci se trouvent doubler leur activité.

A la lumière de ces études il appârait que la Propolis a des propriétés bactéricides deux fois plus importantes que la plupart des antibiotiques.

Chez les personnes âgées, dont l’activité thymique est réduite (thymus), les études menées par le Dr John Diamond ont montré que la Propolis stimule l’activité du thymus en améliorant sa production hormonale. Il est à noter que cette activation thymique peut être très importante. Par ailleurs les études menées par le professeur Scheller dans les années 1980 ont démontré que la Propolis accélérait et renforçait le métabolisme cellulaire, et rajeunissait les cellules en permettant une division deux fois plus rapide.

En outre, les mêmes études, ont montré que la Propolis débarrassait le sang des staphylocoques qui pouvaient éventuellement être résistants aux antibiotiques. Citons les conclusions du professeur Scheller : « Dans cette étude c’est principalement l’effet sur le système immunitaire qui est examiné, mais les autres effets positifs de la Propolis sur la circulation, le métabolisme, le bien-être du corps et sur les maladies infectieuses sont attestés en même temps.

Plus l’homme vieillit, plus sont système immunitaire s’affaiblit et l’organisme perd sa capacité à maintenir sa santé propre et à résister aux agents pathogènes. On observe une augmentation du nombre des maladies qui est la conséquence directe de la faiblesse et la résistance du système immunitaire.

L’objectif thérapeutique est de stopper ou du moins de ralentir ce processus de dégradation. Les études que nous avons menées montrent de toute évidence, avec une série de résultats positifs, que la Propolis, substance naturelle, développe un potentiel renforçant la résistance au processus de dégradation du système immunitaire. »

Au cours de ces études le professeur Scheller traita entre autre des bronchites chroniques, des personnes âgées non malades mais dont l’état général s’améliora rapidement ce qui de son propre aveu était autant visible physiquement que psychologiquement.

Enfin, il traita par ovules de Propolis des infestations vaginales au « Candida albican » et obtint des résultats durables et supérieurs aux thérapies conventionnelles. Le docteur Edit Lauda traita, pour sa part des problèmes d’acnés avec succès, ce que j’ai pu d’ailleurs vérifier sur certains de mes patients.

Les travaux sur la Propolis de l’université de Kiel



Les biochimistes de l’université de Kiel ont étudié son effet sur la douleur grâce à l’action des flavonoïdes sur les prostaglandines.

Le rôle des prostaglandines est de resserrer les vaisseaux sanguins et de stimuler le système nerveux, grâce, entre autre, à la libération de la bradyquinine et de la substance P qui agissent comme des signaux d’alarme en provoquant toutefois de violentes douleurs si leur quantité est excessive ou leur action trop longue.

Les chercheurs de l’université de Kiel ont démontré que si les prostaglandines sont partout présentes dans l’organisme, elles sont également accompagnées d’une concentration de flavonoïdes. Ces derniers, tout au moins pour certains, ont la propriété de limiter la formation des prostaglandines et d’ainsi limiter la douleur.
Ainsi, a été démontré le rôle anesthésiant de la Propolis tout particulièrement sur les maux de dents et les piqûres d’insectes.

Ces mêmes chercheurs ont montré que des prostaglandines, sur les sites de coupures et de brûlures activent la formation d’enzymes qui détruisent le collagène et ainsi retardent la cicatrisation. Ils ont démontré que l’application de Propolis en limitant la propagation des prostaglandines obtenait l’effet inverse et de ce fait activait la cicatrisation.

La propolis et les intoxications

La pollution partout présente se manifeste par les rejets de métaux lourds et de gaz dans l’atmosphère ainsi que par les goudrons de tabac pour les fumeurs et leur environnement. Ces éléments s’insinuent dans les parois intercellulaires et contrarient, d’une part la communication des cellules entre elles, puis d’autre part pénètrent la cellule et détériore son noyau apportant ainsi des aberrations qui peuvent éventuellement dégénérer en cancer.

Dans un premier temps la cellule va tenter de se débarrasser du goudron ou d’une autre substance qui la dérange en essayant de la modifier chimiquement pour la rendre hydrosoluble. Pour parvenir à ce résultat les enzymes doivent tout d’abord fabriquer des époxydes. Ces derniers cependant sont particulièrement réactifs et peuvent parfois établir une liaison entre les gènes cellulaires et le polluant.

Il peut alors y avoir mutation des gènes concernés qui vont proliférer hors de tout contrôle, c’est l’une des genèses du cancer. Les flavonoïdes de la Propolis agissent sur les époxydes et peuvent limiter, voire même supprimer le risque précité.



La Propolis et les virus

Les agents pathogènes sont de trois sortes : les bactéries, les champignons – nous avons vu l’action de la Propolis sur eux – et les virus qui du fait de leur taille réduite et de leur capacité d’adaptation sont un agent pathogène des plus dangereux. Ils peuvent envahir un organisme très rapidement et ce sans provoquer d’alerte immédiate. Installé dans une gangue d’albumine, ils vont être ingérés par la cellule en quête de nutriment et une fois à l’intérieur vont la détruire.

Cependant la cellule ne peut ouvrir la coque d’albumine qu’avec l’aide des prostaglandines. Par ailleurs nous savons que les flavonoïdes réduisent la capacité de développement des prostaglandines et ainsi retardent la prolifération virale, ce qui laisse à l’organisme le temps de s’organiser et de réagir.

Conclusions et applications

La Propolis est collectée par les ouvrières sur les bourgeons de certains arbres et rapportée à la ruche où une autre catégorie d’ouvrières la transformera en une espèce de mastic en la malaxant avec leur salive. Ce mastic servira à enduire l’entrée de la ruche et l’intérieur des alvéoles. De cette manière l’abeille désinfecte son habitat. En cas d’intrusion d’un animal trop gros (souris par exemple), les abeilles après l’avoir piqué à mort le recouvriront de Propolis pour empêcher le pourrissement de la dépouille qu’elles ne peuvent évacuer.

La Propolis est composée de flavonoïdes, de phénols et de diverses substances aromatiques. Ces propriétés sont nombreuses : antimicrobiennes, anticancéreuses, antioxydantes, cicatrisantes, stimulantes du système immunitaires, etc…

Un important nombre d’études ont démontré son effet d’inhibition sur les différents micro-organismes. Ainsi, l’extrait alcoolisé de Propolis est capable « in vitro » de transformer les cellules de l’hépatite et carcinome de telle manière qu’elle les inhibe. (Travaux de Matsuono, 1992). Certaines molécules contenues dans la Propolis ont un effet cytotoxique certain, dont la quercétine, l’acide caféique et la clérodane dytherpénoïque, cette dernière montrant une toxicité particulière sur les cellules tumorales.

Les flavonoïdes très concentrés de la Propolis ont un pouvoir antioxydant et sont capables de détruire les radicaux libres en protégeant les lipides et les autres substances antiradicalaires comme la vitamine C.

De pars son effet stimulant sur le métabolisme cellulaire, sur la circulation et sur la formation du collagène, elle possède des propriétés de réparation de l’épiderme, exceptionnelles comme l’ont démontré les travaux de Ghisalberti en 1979 et de Krell en 1996.

Nous le prescrirons donc dans les cas suivants :
• Angines
• Pharyngites
• Laryngites
• Grippes
• Sinusites
• Rhinites
• Trachéites
• Bronchites
• Asthme
• Pneumonie
• Aphtes
• Stomatites
• Gingivites
• Pyorrhées
• Parodontoses
• Douleurs dentaires
• Caries
• Abcès dentaires
• Colites
• Diarrhées
• Entérites
• Gastrites
• Ulcères
• Acnés
• Escarres
• Brûlures
• Retards de cicatrisation
• Crevasses
• Engelures
• Furoncles
• Lésions anales
• Mycoses
• Cancer
• Etc…




© Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/thimoleon

Mots clés : propolis,miel,abeille,santénaturelle,infection,flavonoïdes

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