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Jean-Claude THIMOLÉON JOLY EI
Bio-énergéticien-Géobiologue, Enseignant Reiki, Toucher Quantique et LaHoChi Phytothérapeute, Aromathérapeute, communication animale, formateur, conférencierPhytothérapie, Aromathérapie, Conférences, enseignements
Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
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ARTICLES / TRADITIONS, MÉTAPHYSIQUE ET SYMBOLIQUE

CABALE OU KABALE AU BOUT DU MYSTÈRE - PARTIE 1

article de Jean-Claude THIMOLÉON JOLY, publié le 12 septembre 2017
5 minutes 476 2


La Cabale, Caballe, Kaballe ou Kabale


Cette série d’articles a pour but de familiariser autant que faire se peut, le profane et même parfois l’initié avec la Cabale, soit la tradition ésotérique et métaphysique de la religion juive en particulier et de bien d’autres religions dont l’Egyptienne Métamorphe Antique qui a bien souvent inspiré les premiers écrits.

Nous noterons déjà qu’à la base l’enseignement ésotérique contenu dans la Cabale est commun à tous les peuples de l’antiquité occidentale si j’ose dire, (Assyriens, Egyptiens, Sumériens, Romains, Grecs, Celtes…), mais également de l’antiquité orientale (Chinois, Hindous…) et se retrouve bien sur chez les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans. De ce fait, nous pouvons dire sans crainte de nous tromper qu’il existe de multiples Cabales.

En prenant nous penchant essentiellement sur la Cabale juive nous profitons du fait que pour nous occidentaux elle est d’un accès plus facile étant donné la connaissance que nous avons déjà de la Bible.

Nous parlerons entre autres d’un ouvrage ancien peu connu « Le Livre de la Splendeur » également appelé Zohar qui est la source principale des connaissances sur la Cabale.

Le Zohar




Le Docteur J. Abelson décrit le Zohar comme un amoncellement de traités, de textes, d’extraits et de fragments de textes appartenant à différentes époques, mais se rejoignant dans leur manière d’interpréter le côté mystique de la Torah, avec la particularité qu’aucun des auteurs présents n’est identifié d’une quelconque manière, nous avons donc à faire à un anonymat complet.

De fait le Zohar est très loin d’être une œuvre homogène, mais plutôt une compilation d’extraits puisés dans la pensée mystique juive mais également non juive et s’étendant sur plusieurs siècles.

Nous retrouverons ainsi de nombreux enseignements fondamentaux ou subsidiaires dans les parties les plus anciennes des Talmuds palestiniens et babyloniens ainsi que dans la gigantesque littérature apocalyptique juive née au cours des siècles qui précèdent et suivent la destruction du second Temple.

« Les discussions sur la loi Juive et les interprétations bibliques (qui sont souvent des répétitions presque littérales de passages que l’on rencontre dans le Talmud), les spéculations sur la théologie, la théosophie et la cosmogonie qui ont leur contrepartie dans la littérature hellénistique et présentent parfois des ressemblances avec certaines idées contenues dans le Zend Avesta – ce qui a emmené certains chercheurs à trouver une grande partie des bases du Zohar dans le culte ancien de Zoroastre – Les types d’exégèse allégorique dont Philon est le principal interprète, les théories gnostiques concernant la relation entre l’humain et le divin, les échos de croyances médiévales, totalement étrangères à l’esprit juif, concernant l’astrologie, la physiognomonie, la nécromancie, la magie et la métempsychose, tous ces éléments se rencontrent au hasard des pages du Zohar, grand magasin d’anachronismes, d’absurdités et de surprises ! »

Ainsi, il est compréhensible que la lecture du Zohar soit une lecture quelque peu déconcertante pour celui qui s’y intéresse occasionnellement et même rebutante pour le non initié. Il permet cependant d’apprécier les classifications dans lesquelles s’insère l’étude de la Cabale, et il est d’une aide inestimable pour le chercheur qui veut étendre ses connaissances après avoir maîtrisé les bases.

Le Zohar peut être divisé en quatre grandes matières ou groupes de matières : pratiques, littéral, non-écrit et dogmatique. L’étude que nous vous proposons s’appuie essentiellement sur la dogmatique. Sachez que le Zohar est écrit en partie en Hébreu, en Chaldéen ou Araméen et qu’il se rapporte aux cinq premiers livres de la Genèse.

Rappelons que ces cinq premiers livres de l’Ancien Testament : La Genèse, l’Exode, le Lévitique, les Nombres et le Deutéronome, réunis sous l’appellation de « Pentateuque », ont été considérés comme des textes sacrés jusqu’à l’époque d’Isaïe. Ils étaient écrits en grande partie en babylonien et en assyrien, donc en caractère cunéiformes et furent traduit dans le langage courant par les scribes et les prophètes. Ceci explique les nombreuses annotations mais aussi variantes ainsi que la quantité exceptionnelle de commentaires traditionnels transmis oralement par ce qu’il est convenu d’appeler « les métaphysiciens ». En réalité le Zohar est tiré de toute cette tradition orale.

A côté du Zohar, nous baserons notre étude sur un essai métaphysique juif appelé « Le livre de la Création » ou « Sepher Yezirah » « L’un des plus anciens et l’un des premiers monuments de l’esprit humain ».



Ces deux ouvrages nous permettrons d’acquérir une connaissance pratique des enseignements fondamentaux de la Cabale en nous évitant d’être précipités dans la confusion des développement antérieurs ou modernes de la pensée cabalistique.

Le Zohar discute la Cabale sous quatre chapitres :

I – Pratique, qui traite de la magie talismanique et rituelle

II – Littéral, qui se divise en trois parties :

a) Gématria, méthode arithmétique qui consiste à remplacer chaque mot par un autre de même valeur numérique

b) Notaricon, choix, suivant la règle, de certaines lettres à partir du début, du milieu ou de la fin des mots d’une phrase, pour former un mot unique.

c) Temurah, méthode de chiffrage par lequel on remplace, selon les règles données, les lettres d’un mot par d’autres lettres.

III – Le Non Ecrit : partie de l’enseignement cabalistique que l’on dit n’avoir été transmis qu’oralement.

IV – Dogmatique : esquisse d’un système métaphysique.

Je termine là ce premier article et j’invite les personnes intéressées à me suivre dans cette étude au cours des semaines et des mois à venir.

Mais n’oublions pas que la tradition populaire dis qu’il faut 25 ans pour monter « l’arbre de vie » et 25 ans pour le descendre.

FIN-COULEUR ))
© Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/thimoleon

Mots clés : mystères,traditions,cabale,kabale,philosophie,métaphysique

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