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Jean-Claude THIMOLÉON JOLY EI
Bio-énergéticien-Géobiologue, Enseignant Reiki, Toucher Quantique et LaHoChi Phytothérapeute, Aromathérapeute, communication animale, formateur, conférencierPhytothérapie, Aromathérapie, Conférences, enseignements
Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
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ARTICLES / TRADITIONS, MÉTAPHYSIQUE ET SYMBOLIQUE

PYTHAGORE ET LES VERS D''OR - PARTIE 1

article de Jean-Claude THIMOLÉON JOLY, publié le 27 octobre 2017
5 minutes 352 5


Pythagore pour ceux qui s’en souviennent est souvent lié à quelques théorèmes mathématiques qui nous ont posés bien des problèmes quand nous étions sur les bancs de l’école, mais au-delà de ces théorèmes Pythagore est certainement l’un des philosophes les plus accomplis de notre histoire au côté d’Hippocrate.
L’Antiquité renferme bien souvent les secrets que nous croyons redécouvrir aujourd’hui.

La philosophie pythagoricienne a pourtant non seulement marqué son époque en instituant un art de vivre et une attitude bien précise vis-à-vis de tout ce qui concerne la vie de l’homme accompli, mais également à servi de base à de nombreux concepts philosophique qui lui ont succédé.

Aujourd’hui je vous propose d’examiner et de commenter les « Vers d’Or » de la philosophie pythagoricienne pour en tirer si nous le pouvons des leçons pour notre vie de tous les jours.

Dans cette règle de vie écrite par l’un des élèves de l’institut de Crotone vous retrouverez sans doute des concepts que l’on vous a inculqués par ailleurs, concepts épars tirés d’un ensemble mis au point par un génie qui a vécu il y a trois mille ans, plus que nonagénaire, alors qu’aujourd’hui on signale à grand renfort d’articles de journaux celui qui passe la dizaine au-dessus.

La vérité est une, immuable, éternelle, parce qu’elle est d’ordre synthétique et divin. Elle est inscrite partout dans l’univers, dans la nature et dans les êtres. Mais elle demande à être recherchée, car elle se cache pour que l’effort de progrès qu’exige sa découverte soit récompensé du bonheur de savoir et d’espérer.

Comme elle est universelle, elle domine tous les temps et tous les mondes. Elle est donc la même pour toutes les époques et tous les hommes. Et comme elle est synthétique, on la retrouve identique dans tous les domaines de connaissances.

Aussi, les voies qui permettent de l’atteindre sont-elles multiples et souvent très dissemblables.

C’est pour cette raison que dès la plus haute antiquité, sans avoir pourtant à leur disposition les richesses scientifiques d’aujourd’hui, les grands sages étaient arrivés, déjà, à énoncer les lois de la création, à déterminer l’origine et la fin de l’homme et les attributs de la Divinité, à établir les lois de causalité, d’évolution, de finalité et à en déduire, enfin, les plus sûrs préceptes de vie saine et vertueuse.

La doctrine Pythagoricienne et la doctrine Hippocratique se rejoignent pour fournir un ensemble de règles de sagesse spirituelle et corporelle qui renferment la totalité du Savoir et l’union de d’Ordre complet pour la conduite individuelle et collective.

La synthèse doctrinale de Pythagore est exprimée dans un texte qui les exprime supérieurement, qui fut écrit par l’un des élèves du maître, Les Vers D’or des Pythagoriciens.

L’idéal de vie harmonieuse qu’ils inspirent et les règles de santé de l’âme et du corps qu’ils proposent sont vraiment dignes d’être commentés et suivis.


Un peu d'histoire

Pythagore est né dans l’île de Samos, 580 ans avant J.C. Son père, Minésarchus, lui fit donner une instruction complète. Des maîtres renommés lui enseignèrent la philosophie, les mathématiques, la poésie, la musique et la gymnastique.



Cette éducation large et ouverte contribua à affiner son goût inné de la science en général, à former son esprit, si curieux de l’analyse et si puissamment synthétique tout à la fois.

Le désir d’approfondir davantage les connaissances reçues et d’en acquérir de nouvelles, l’incita à voyager pour étudier les institutions des autres peuples et se faire initier aux enseignements secrets des Temples réputés.

Il se rendit, pour commencer, dans l’île de Crète. Puis il visité les principales villes de Grèce.

Après avoir reçu l’initiation Orphique et s’être pénétré du sens caché des harmonies musicales, il fit le projet d’édifier une doctrine qui, dans son élévation, embrasserait tous les domaines de la connaissance humaine.

C’est à ce moment là, qu’il fit le voyage d’Egypte. On raconte que son temps d’initiation dans les temples dura plus de vingt ans. Il y approfondit surtout la science ésotérique des mathématiques sacrées.

Il en fit le pivot de sa doctrine unitaire, l’Un créant dans un courant de descente ou d’involution la multiplicité des êtres, en possession d’une trinité de forces qui s’épanouissent et progressent dans un élan ascendant universel, d’évolution, à la fois providentiel et libre, de retour à l’unité.

Pris dans la tourmente qui bouleversa l’Egypte à cette époque, il fut emmené en captivité à Babylone, où il rencontra les prêtres chaldéens et les mages persans qui lui dévoilèrent les données occultes des antiques religions de l’Inde et la Perse et lui apprirent la puissance du verbe humain, dirigé selon certaines règles d’action invisible et visible.

Il apprit également l’astronomie et le véritable mouvement des astres, et Plutarque nous rapporte que Pythagore croyait que la terre était mobile et n’occupait pas le centre du monde, mais qu’elle se déplaçait autour du soleil en tournant sur elle-même, ce qui engendrait la succession des jours et des nuits.

Dès lors connaissant tout ce qu’il était humainement possible de connaître, il obtint sa libération et retourna à Samos après plus de trente ans d’absence et d’études.

Après un court séjour dans son pays natal il décida de se fixer dans l’une des colonies grecques d’Italie et arriva à Crotone où il fonda une école dont l’influence devint rapidement prépondérante, jusqu’à réformer les institutions politiques.



Il associait dans un même schéma de pensée d’entraide et de synthèse, les données, d’apparences opposées, de la science matérielle et de la religion d’un Ordre spirituel unique, créateur, législateur et protecteur, de telle manière que l’idée de Dieu dominait, guidait et assemblait l’œuvre humaine toute entière.

Celse disait de lui qu’il était le philosophe le plus éclairé des choses de la médecine. Sa science était si universelle, sa sagesse si rayonnante et son prestige si grand que l’on le comparait à un demi-dieu.

Il avait compris que le jour où l’humanité serait devenue clairvoyante de ses origines et de sa destinée, instruite de toutes ses obligations de vie saine et harmonieuse, respectueuse de l’ensemble de ses lois directrices, elle marcherait dans la voie du progrès, en subissant moins d’entraves douloureuses et de cataclysmes redresseurs, et qu’alors le règne de l’âge d’or commencerait sur terre.

Mais que sont ces Vers d'Or, je vous propose dans un prochain article de commencer à les étudier et à les commenter et vous vous apercevrez avec surprise que beaucoup des concepts pythagoriciens ont été repris par nos religions, nos lois, nos chemins initiatiques, etc....

A bientôt donc.....
© Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/thimoleon

Mots clés : philosophie,psychologie,bien-être,spiritualité

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Démarcharge commercial interdit
Mary Colibri - 27/10/2017 à 18h30
Merci pour cette belle leçon d'histoire!
J'attends la suite avec impatience

Belle soirée à vous

Mary Colibri
« Ecouter, comprendre, pardonner son autant de façons d'aimer donc de guérir » Jean-Claude Thimoléon