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Jean-Claude THIMOLÉON JOLY EI
Bio-énergéticien-Géobiologue, Enseignant Reiki, Toucher Quantique et LaHoChi Phytothérapeute, Aromathérapeute, communication animale, formateur, conférencierPhytothérapie, Aromathérapie, Conférences, enseignements
Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
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ARTICLES / TRADITIONS, MÉTAPHYSIQUE ET SYMBOLIQUE

VÉRITÉ ABSOLUE ET VÉRITÉ RELATIVE - SECONDE PARTIE

article de Jean-Claude THIMOLÉON JOLY, publié le 11 février 2018
4 minutes 302 4


L'homme intérieur qui occupe une forme extérieure a des relations avec 1'activité intérieurs du cosmos qui ne sont pas moins précises et définies que les relations existantes entre l'homme extérieur et la nature. Tant que l'homme n'admettra pas les relations qui l'unissent à cette puissance, en un mot à DIEU, il ne se rendra jamais compte de sa vraie nature divine et n'atteindra jamais la vraie connaissance de lui-même.

Enseigner la vraie relation qui existe entre l'homme et le Tout infini et s'élever à ce plan d'une vie exaltés qu'il devrait occuper sont et doivent être les seuls vrais buts de bonté vraie religion et de toute vraie science. Qu'un homme ait pu naître dans une certaine maison et dans telle ville n'indique pas qu'il doive rester là toute sa vie ; qu'un homme ait été longtemps dans une condition inférieure sur le plan physique, moral ou intellectuel ne lui impose pas de rester nécessairement pour toujours à ce stade et ne le prive pas de s'élever vers les plus hauts sommets.

La connaissance la plus élevée qui soit est celle qui vise le but le plus élevé, il ne peut exister d'objet de considération plus élevé et plus digne que la cause du bien universel. DIEU est donc l'objectif le plus élevé de la connaissance humaine, et nous ne pouvons rien savoir en ce qui LE concerne qui ne soit la manifestation de Son activité dans nos esprits.

Obtenir une connaissance de l'ego revient à obtenir une connaissance du principe divin en nous, en d'autres mots, une connaissance de notre propre moi intérieur après s'être tourné vers le divin et s'être éveillé à la conscience de sa divinité. Alors l'ego divin intérieur se rendra compte des relations qui existent entre lui et le principe divin de l'univers si nous pouvons parler de relations existantes entre deux choses qui ne sont pas deux mais une seule et même chose, Pour nous exprimer correctement, nous dirions que la connaissance spirituelle de Sa nature est atteinte quand DIEU reconnaît Sa propre divinité dans l'homme.

Toute puissance, qu'elle appartienne au corps, à l'âme ou au principe de l'intelligence en l'homme, a son origine dans le centre, l'Esprit.
L'homme doit son activité spirituelle de voir, sentir, entendre et ressentir avec ses sens extérieurs. Chez beaucoup d'hommes cette force spirituelle intérieure n'a éveillé que l'adresse intellectuelle et a mis en activité les sens extérieurs. Mais il y a des personnes exceptionnelles chez qui l'activité spirituelle a atteint un plan beaucoup plus-élevé et chez qui les facultés intérieures de perception les-plus hautes ont été développées. De telles personnes peuvent percevoir des choses qui sont invisibles aux autres et exercer des pouvoirs que le reste des mortels ne possède pas.

Si le soi-disant sage rencontrait un tel cas, il le considérerait occasionné par une condition maladive du corps et le désignerait comme effet d'une "condition pathologique'', on constate chaque jour que la connaissance extérieure et superficielle ne contient absolument rien sur les lois fondamentales de la Nature et confond toujours, de .façons répétées ; cause sans effet - effet sans cause.

Pour la même raison, avec la même logique un troupeau de moutons dirait à l'un d'entre eux qui aurait la faculté de parler avec l'homme, qu'il est malade et il s'intéresserait à sa "condition pathologique". C'est ainsi que cette sagesse apparaît sottise pour les sots; aux aveugles la lumière n'est qu'obscurité ; la vertu est un vice pour les vicieux ; la vérité ressemble à la tricherie au tricheurs. Partout nous voyons que l'homme perçoit les choses non pas comme elles sont, mais comme il les imagine.

Nous voyons donc que tout ce que les hommes ont l'habitude d'appeler bien ou mal ou faux, utile ou inutile, n'est perçu que de façon relative. Ce qui peut être vrai pour l'un peut être le contraire pour un autre dont. les objectifs, les opinions ou les aspirations sont différents.

Il y a une autre conséquence à cet état des choses ; où commence le langage commence la confusion, car à cause des différentiations qui s'effectuent dans les diverses constitutions de l'homme, la manière dont se forme un concept changera d'un homme à l'autre.

C'est vrai pour les affaires courantes et ce l'est encore plus dans les domaines de l'occulte dont la plupart des hommes n'ont que des idées fausses. Il n'est pas sûr qu'une seule phrase puisse être prononcée sans soulever des disputes et de fausses interprétations.

Les seules vérités que les disputes n'atteignent pas, sont les vérités absolues, elles n'ont pas besoin d'être démontrées car elles sont évidentes. Les exprimer au moyen du langage revient à dire ce que tout le monde sait et ce que personne ne contredit ; par exemple dire que Dieu est la cause de tout le bien, signifie simplement que nous nous représentons, par symbole, l'origine inconnue de tout le bien avec le mot « Dieu ».

Toute vérité relative n'a ses références que dans les individualités instables des hommes et personne ne peut connaître la vérité dans l'absolu, sauf celui qui, s'élevant au-dessus de la sphère du moi et des phénomènes, atteint la religion du réel, éternel et immuable. Pour en arriver là, il faut nous fermer à mort à ce monde là, ou, ce qui est pareil, nous débarrasser complètement de cette idée du moi qui est une illusion et ne faire qu'un avec l'Universel, unité sans fissure.

Si tu es disposé à agir ainsi, tu peux franchir la porte du sanctuaire de la connaissance cachée, mais si les illusions du monde extérieur et surtout les illusions de ta propre personne te leurrent, tu chercheras en vain la connaissance de ce qui existe en toi, tout à fait indépendamment de tout, ce qui est le centre éternel, la flamme centrale d'où vient et où tout retourne : le Père, de Qui, personne d'autre que le Fils ne peut s'approcher, Qui est la Lumière, la Vie et la Vérité Suprême.

Bonne méditation de ce texte et à bientôt
© Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/thimoleon

Mots clés : philosophie,développementpersonnel,recherches,spiritualité

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« C'est la nature qui m'instruit, elle est ma mère et je lui obéis encore. Elle me connait et je la connais. La lumière qui est en elle, je l'ai contemplée, je l'ai démontrée dans le microcosme et je l'ai retrouvée dans l'Univers. » Paracelse