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Jean-Claude THIMOLÉON JOLY EI
Bio-énergéticien-Géobiologue, Enseignant Reiki, Toucher Quantique et LaHoChi Phytothérapeute, Aromathérapeute, communication animale, formateur, conférencierPhytothérapie, Aromathérapie, Conférences, enseignements
Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
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ARTICLES / ENERGÉTIQUE

BIOÉNERGÉTIQUE, PHYSIQUE ET MÉDECINE QUANTIQUE

article de Jean-Claude THIMOLÉON JOLY, publié le 9 avril 2018
10 minutes 2271 19


Ici et là, nous rencontrons tous des thérapeutes qui disent pratiquer la médecine quantique.

Pour certains, ils sont rares, cela est vrai pour d’autres il s’agit avant tout d’une incompréhension de ce qu’est vraiment la médecine quantique et surtout le concept scientifique qui lui sert de base à savoir la physique quantique.

Pour bien comprendre de quoi il est question nous allons reprendre brièvement l’histoire de la physique et de ses différents courants.

La physique déterministe


Il s’agit de la base, pour ainsi dire de la préhistoire de la physique. Le premier savant que nous pouvons vraiment considérer comme un physicien est Galilée (Galileo Galilei) (1564-1642).

Nous sommes donc à la fin du 16ème siècle et au début du 17ème.

C’est au tout début du 17ème siècle que Galilée a affirmé et démontré que la terre tourne bien autour du soleil et à partir de là il s’attacha à expliquer la notion de mouvement et par là même la relativité qui y est attachée.



Prenons l’exemple d’un train, il est en mouvement pour la vache qui le regarde passer, mais il est immobile pour les voyageurs qui l’occupent si nous les empêchons de voir le paysage défiler.

Nous constatons déjà que la référence choisie change le résultat de l’observation.

Un peu plus tard nous devait naître l’année ou Galilée meurt, le véritable père de la physique déterministe, qui porte d’ailleurs souvent son nom, il s’agit d’Isaac Newton (1642 – 1727). Il va mettre en place les lois de ce que l’on appelle encore aujourd’hui la physique classique ou newtonnienne.



Il s’agit de la poursuite des travaux de Galilée.

En effet les lois découvertes par Newton ayant trait à la gravité, la masse, la vitesse se vérifie facilement dans la vie quotidienne. Pour reprendre l’exemple du train, même les plus rapides ne se déplacent pas assez vite pour infirmer la physique classique par contre l’avion qui passe le mur du son commence à ébranler nos certitudes et que dire de certaines particules infiniment petites qui accélérer dans des appareillages comme ceux du CERN atteignent des vitesses où la description de leur mouvement ne répond plus aux définitions des théories de Newton.

Au 19ème siècle nous devons parler des conceptions de Maxwell qui faillit mettre au rebut les théories de Newton. En effet James Clerk Maxwell (1831-1879) orienta ses principaux travaux sur la propagation des ondes et particulièrement des ondes électromagnétiques.

Pour expliquer leur propagation il imagina l’existence dans l’espace d’un invisible milieu qu’il nommera Ether. De fait si ce milieu existait il remettrait en question toutes les théories précédentes sur le mouvement allant jusqu’à démontrer la possibilité de remonter le temps, mais à la fin du 19ème siècle cette théorie fut expérimentalement infirmée et ranger au rang des utopies.

La physique relativiste




Nous arrivons au début du 20ème siècle avec un homme que je définirai comme l’un des premiers philosophes-physiciens, à savoir Albert Einstein (1879 – 1955). En mettant en évidence la relativité du mouvement il bouleversa la physique.

La célérité ou vitesse de la lumière 299 792 458 mètres/seconde soit 1 079 252 848,8 kilomètres/heure est la vitesse maximum que peut atteindre n’importe quel corpuscule en théorie.

Lorsqu’une particule atteint une vitesse approchant à 10 % près la célérité, les lois de Newton ne sont plus applicables et doivent être remplacées par des équations beaucoup plus complexes.

Dans la physique relativiste la masse, la longueur ou le temps varient en fonction de la vitesse de déplacement. Il a été notamment prouvé que certaines particules accélérées à des vitesses proches de celle de la lumière doublaient leur durée de vie par rapport à la référence au repos.

Ainsi Einstein a pu démontrer que la relativité du mouvement entraînait la remise en question de la notion de distance, de temps infirmant les affirmations de la physique classique. Il énonça plusieurs postulats :

Remise en cause des lois fondamentales de Newton en indiquant qu’aucun système ne peut être déplacé selon un mouvement rectiligne uniforme et ne peut non plus rester au repos

Il balaiera également les lois de Maxwell en précisant que notre espace avait la propriété de transporter des ondes.

Enfin le plus connu de ses postulats E=mc² qui donne une équivalence entre masse et énergie. A savoir que lorsque la masse d’un système diminue, ce système fournie une énergie équivalente à la perte de masse et inversement.

Comparons un instant avec les bases de la physique classique et ses postulats fondamentaux :

Tout mouvement a une cause et il est toujours possible de la déterminer ; le mouvement ne constituant qu’un effet de la cause.

Les mouvements les plus compliqués peuvent se décomposer en une série de déplacements plus simples, inscrits dans la globalité du mécanisme complexe.

Si un mouvement est connu en un instant donné, il sera alors toujours possible de le décrire en aval, ou de retrouver comment il se déplaçait au début de ce même déplacement. C’est ce que l’on appelle le déterminisme.

L’intégralité des propriétés de la lumière s’inscrit dans les théories de Maxwell sur les ondes électromagnétiques.

Les mesures sont possibles sur toutes les grandeurs, comme la température ou la pression, liées aux propriétés du système. La qualité de l’observation détermine la précision de la mesure.

Point n’est besoin d’être prix Nobel pour constater les écarts avec les postulats de la théorie relativiste.

Les débuts de la physique quantique


Newton affirmait la discontinuité de la matière, en s’appuyant sur le principe de l’atome comme particule de base de la constitution de cette matière et Maxwell considérait quant à lui que la matière était un système continu basé sur le principe des ondes. Le débat n’est d’ailleurs toujours pas clos aujourd’hui.

La physique quantique, elle, montre qu’il y a dualité entre ces deux états, et que si ces deux états coexistent cela provient de la manière de pratiquer l’observation ou l’expérimentation.

Théorie de Max Planck

Max Planck (1858 – 1947) explique que si la matière et l’énergie sont bien en adéquation, cette dernière ne peut être émise que sous la forme d’ondes électromagnétiques comme la lumière et sous la forme de paquets qu’il appellera « quanta ». De ce fait l’énergie est proportionnelle à la fréquence de l’onde émise.



Cette théorie ne sera vraiment expliquée et clarifiée que 27 ans plus tard.

Les dates de la physique quantique et de la médecine quantique

1900 – Théorie de Max Planck
1905 – Albert Einstein confirme cette théorie en imaginant que la lumière est composée d’énergie que l’on peut représenter par des sortes de grains que l’on appellera plus tard « photons ».
1912 – 1917 – Robert Milikan, défenseur des théories classiques essaie de démontrer qu’Einstein se trompe puisque sa théorie émet l’hypothèse que la lumière est une onde.
1913 – Niels Bohr applique à l’atome la théorie quantique et propose un nouveau modèle dans lequel la position des électrons autour du noyau est discontinue et prévisible. Pour définir ces positions on parle des nombres quantiques n, k et m. Ainsi il arrive à expliquer la classification des éléments de Mendeleïv.
1923 – Louis de Broglie défend la théorie que certaines particules pourraient avoir les mêmes propriétés que les ondes et généralise la dualité onde/particule qu’avait avancée Einstein en la réservant à la lumière.
1925 -1926 – Trois théoriciens s’affrontent pour finir par parvenir à la même conclusion, il s’agit d’Heisenberg, Schrodinger et Dirac. D’après eux il est impossible de déterminer à la fois la position et la vitesse d’une particule, mais également que le fait d’observer cette particule influe sur elle. Ramené au plan mathématique cela signifie A x B est différent de B x A.
1926 – Max Born avance que les lois de la probabilité régissent la mécanique quantique. Il indique notamment que l’électron unique de l’atome d’hydrogène ne peut se situer à un endroit donné, mais occupe des zones privilégiées. C’est encore aujourd’hui le modèle atomique retenu.
1927 – Confirmation par Heisenberg du principe d’incertitude
1932 – Carl Anderson présente l’antimatière. Les antiélectrons ou positrons ont les mêmes caractéristiques que l’électron mais sont de charge positive.
1935 – Nouveau paradoxe l’EPR (Einstein, Podolsky, Rosen) supposant que deux particules corrélées conservent les informations échangées après leur séparation. De fait si une particule subit une transformation l’autre est également modifiée et ce quelques soit la distance les séparant. Ce paradoxe remet en cause la célérité de la lumière et le fait que la distance puisse diminuer l’interaction. Aujourd’hui l’ensemble de ces théories sont toujours d’actualité malgré de nombreuses découvertes notamment dans le domaine des particules élémentaires.



1970 - 1980—Le professeur Christian Daniel Assoun et le docteur Lambin Daustremont mettent en place le principe de médecines quantiques qui s’appuit sur la mécanique quantique et notamment sur les mémoires des particules étendues aux mémoires cellulaires, sur l’émission de « quanta » par l’homme susceptibles de modifier ou corriger ces mémoires, sur l’influence de l’opérateur sur le résultat de l’opération et le principe d’incertitude, et enfin sur la présence dans le corps humain de température plasmique dans le corps humain ou animal à l’émission par les neurones d’informations voyageant à la célérité (cette température est présente pendant une nano-seconde)



1980 à aujourd’hui : Poursuite des travaux de développement de la médecine quantique par les chercheurs russes et notamment par Grabovoï avec l’émission informationnelle des suites de chiffres capables de modifier et de corriger les mémoires cellulaires.

La lumière onde électromagnétique


C’est à la fin du 19ème siècle que Maxwell considéra que la lumière était une onde ou plus exactement un faisceau d’ondes électromagnétiques.

Qu’est-ce qu’une onde ?

Quand un caillou, lancé du bord de l’eau arrive à la surface, il provoque une succession de rides concentriques. Ce phénomène est transposable pour le son, la réception radio ou télévision et il correspond à la propagation des ondes. La lumière que l’on peut classer dans les ondes électromagnétiques répond également à ce type de transmission.

La cellule

La cellule base de l’ensemble des tissus vivants correspond à la pièce d’un puzzle qui en s’additionnant aux autres donnera un soit un organe, soit un nerf ou un muscle, etc. Notre organisme est constitué de milliards de cellules qui remplissent des fonctions différentes et qui peuvent être classées par familles cellulaires que nous appellerons des groupes fonctionnels.

Ce qui est important pour nous en bioénergétique est le système de communication que vont utiliser ces cellules à l’intérieur d’un même groupe fonctionnel et les groupes fonctionnels entre eux.

Cette communication va s’établir à partir d’une onde qui n’est autre que la lumière qui va transporter quasi instantanément l’information choisie.

L’action quantique en bioénergétique

Nous comprendrons aisément qu’à partir de ce qui est exposé ci-dessus, que c’est grâce à la lumière émise par nos synapses durant quelques nano-secondes (il se crée un état plasmique « >10.000° ») que l’information que nous désirons transmettre au patient va se propager.

Cette propagation porter par la lumière est quasi instantanée et va influer sur la communication intra et inter cellulaire du sujet.

La vitesse de transmission (celle de la lumière) explique pourquoi nous pouvons travailler à distance quasi instantanément.

Les cellules de l’organe récepteur vont ainsi s’harmoniser grâce à la transmission lumineuse relayée par les trois centrioles de silicium que contient chaque cellule.

La notion de médecine quantique va donc recouvrir tout ce qui touche à la communication intra et inter cellulaire et donc les mémoires cellulaires et tout ce qui peut les modifier ou les améliorer.
© Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/thimoleon

Mots clés : médecinequantique,lumière,énergétique,énergie,transmission,mémoire

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