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Jean-Claude THIMOLÉON JOLY EI
Bio-énergéticien-Géobiologue, Enseignant Reiki, Toucher Quantique et LaHoChi Phytothérapeute, Aromathérapeute, communication animale, formateur, conférencierPhytothérapie, Aromathérapie, Conférences, enseignements
Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
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ARTICLES / MAGNÉTISME ET RADIESTHÉSIE MÉDICALE

RETOUR SUR LA RADIESTHÉSIE MÉDICALE - PARTIE 1

article de Jean-Claude THIMOLÉON JOLY, publié le 1 juillet 2020
11 minutes 1504 6


Présentation
On a beaucoup écrit sur la radiesthésie médicale et des articles récents ont montré qu’il n’y a même pas accord sur la définition des actes qui peuvent être compris dans cette subdivision de notre art;

Afin d’édifier une construction définitive et de couper court à touts discussions oiseuses, nous commencerons par définir les objets de notre étude ; quand nous aurons établi la technique de la radiesthésie médicale et démontré ses possibilités, nous exposerons notre position – très nette – à l’égard de ce sujet si controversé.

Je peux toutefois faire immédiatement justice d’une opinion insoutenable qui a tout de même été publiée : le radiesthésiste peut découvrir certaines vérités dans quelques domaines que ce soit mais celui de la médecine lui serait interdit ! Cette affirmation est tout simplement proprement absurde : on pourrait découvrir une caverne dans une sous-sol, mais non dans un poumon, une fissure sur un terrain mais pas celle d’un anus ?!?!... Le médecin qui professe cette opinion nous rappelle celui qui nous refusait de découvrir un orteil manquant sur une planche anatomique, mais qui, un mois plus tard, nous demandait de rechercher sur plan, sa montre qu’on venait de lui voler.

Définition de la radiesthésie médicale
Je regroupe sous cette appellation de « radiesthésie médicale » toutes les opérations radiesthésiques qui se rapportent à l’état de santé de l’être humain ou de l’animal. Comme l’opération radiesthésique est toujours une découverte, on peut donc définir la radiesthésie médicale comme étant la découverte au pendule ou à la baguette, de tout ce qui intéresse la santé de l’homme ou de l’animal.

Vaste domaine qui comprend :
La mesure des éléments chiffrés qui caractérisent la santé : indice de vitalité, pouls, température, tension artérielle, numération globulaire, taux d’urée, de cholestérol, etc….
La découverte des organes atteints et des fonctions qui subissent un ralentissement ou une exagération (hypo ou hyper-fonctionnement), la localisation des corps étrangers absorbé s ou introduits par traumatisme, etc…
Le diagnostic, c’est-à-dire la classification du malade dans l’une des catégories d’états morbides connus.
La découverte du ou des remèdes dont l’application est nécessaire en vue du retour à la santé : le choix des aliments utiles et la recherche des bonnes conditions de vie.



Le diagnostic
A la lecture de cette liste en quatre points, il semble que les trois premiers soient peu intéressants par rapport au quatrième qui résout le problème de la santé en guérissant le malade et en lui enseignant à éviter la maladie. En effet, les détails relatifs à des organes divers n’ont pas d’intérêt si la guérison peut être obtenue sans que l’on soit obligé de les connaître.

Tout radiesthésiste doué de sens critique a fait cette remarque : il a conclu à l’inutilité du diagnostic en radiesthésie. Il s’agit pourtant d’une erreur fondamentale car soigner sans connaître ce que l’on soigne est quelque peu aberrant. (raison pour laquelle j’encourage mes élèves à se former à la biologie et à la physio-anatomie au moins de manière élémentaire). De plus l’établissement d’un diagnostic le plus précis possible nous orientera vers le choix d’une technique de traitement (élixirs minéraux, élixirs floraux, aromathérapie, phytothérapie, etc…) et de fait nous fera gagner un temps précieux.

Le diagnostic est nécessaire au médecin qui ne peut généralement connaître le remèdes à administrer qu’après avoir observé les signes cliniques, défini la maladie correspondante selon ses connaissances et, enfin, choisi la thérapeutique parmi celles usuelles au moment de l’examen médical. Il serait vraiment prétentieux pour nous radiesthésistes de prétendre nous passer de cette étape.

On connaît les caractères particuliers du diagnostic qui diffèrent d’après la classe de l’opérateur ; on peut dire, sous une forme simplifiée et avec assez d’exactitude, que le diagnostic est clinique, symptomatique ou causal selon que son auteur est médecin allopathe, médecin homéopathe ou radiesthésiste médical.

Les médecins admettent que le diagnostic est une nécessité causée par l’impossibilité de trouver, d’emblée, le remède convenant au malade : il est également « une formalité de passage psychologiquement nécessaire car le malade désire savoir ce qu’il a ». Même si souvent nous recevons la visite de « patients » qui arrivent avec leur diagnostic médical, il est à mon sens primordial de continuer les recherches ne serait-ce que pour établir le causal.

Diagnostic radiesthésique
Bien qu’il puisse obtenir la connaissance immédiate du remède approprié, le radiesthésiste se doit d’établir un diagnostic, ne serait-ce qu’afin d’aider le médecin dont l’art est bien souvent nécessaire n’en déplaise à certains de mes confrères. Remarquons que le diagnostic du radiesthésiste peut être causal, mais qu’il ne l’est pas dans tous les cas, comme certains confrères paraissent le croire.

Le diagnostic causal qui détermine la cause du mal et, par conséquent, permet de l’attaquer à sa racine, est découvert par le radiesthésiste qui pose la question en conséquence qui a donc pour cela les connaissances nécessaires pour poser cette question. S’il se contente de « constater les dégâts », il fera le même diagnostic que le médecin traitant, lequel a depuis longtemps abandonné la recherche des causes morbides, recherche qu’il classe sous l’étiquette « d’étiologie.



L’accord des convergences
Il n’y a rien de surprenant à voir médecin et radiesthésiste fournir, pour le même malade, au même instant, des diagnostics différents, cela prouve simplement qu’ils ont tous deux fait leur métier consciencieusement et avec le maximum d’efficacité, le radiesthésiste a découvert la cause alors que le médecin n’a pu qu’observer les effets.

C’est dans ces conditions que la science du médecin va intervenir en pleine lumière car il sait si un rapport de causalité unit les deux observations : il peut donc vérifier simultanément les conclusions de deux spécialistes opérant isolément et différemment ; puis, appliquant les connaissances médicales qu’il est à priori seul à posséder, il peut, à coup sûr, s’attaquer à la cause et neutraliser les effets. C’est d’ailleurs la démarche qu’il a en général lorsqu’il demande un examen par un spécialiste.

Le radiesthésiste doit savoir effectuer le diagnostic causal qu’il est pratiquement le seul a pouvoir obtenir dans tous les cas en l’absence de radio, scanner, IRM, ou autres.
On voit que les divergences entre les diagnostics du médecin et du radiesthésiste sont éminemment profitables au malade, ces divergences, loin de prouver l’erreur de l’un ou de l’autre, peuvent, au contraire, démontrer leur virtuosité.

Compétences du radiesthésiste
Le radiesthésiste peut découvrir ce qu’il veut découvrir
Il est donc capable , du premier coup de baguette ou de pendule, de trouver le remède convenant au malade et ensuite la dose la mieux appropriée à l’état particulier de son client.
Un grand nombre d’opérateur ne cherchent pas autre chose, agissant, en somme, comme les animaux eux-mêmes. Ils imitent leurs frères « inférieurs » dont l’instinct n’est pas faussé par les servitudes de la nature humaine qui sont : la crédulité, les superstitions, la publicité abusive et le charlatanisme.
Il est cependant regrettable de se limiter à cette simple fonction puisque « nous pouvons découvrir ce que nous voulons découvrir ».

Cependant tous les cas ne sont pas justiciables de cette technique : certains malades doivent être débarrassés chirurgicalement de quelques corps étrangers ou tissus dont l’état devient dangereux pour l’organisme tout entier. D’autre part, il est avantageux de savoir, par une mesure, vérifier la disparition progressive d’une déficience ; le radiesthésiste doit savoir prendre une température, suivre l’évolution de l’indice de vitalité, etc…

Par conséquent, la liste en quatre points, établie au début de la leçon, représente bien le programme d’étude du radiesthésiste médical qui veut rendre service dans toutes les limites de sa compétence. Cette liste est visiblement établie en tenant compte des techniques habituelles du médecin, mais il se trouve qu’elle regroupe, dans chacun de ses quatre points, des recherches qui, au point de vue de la radiesthésie, sont absolument comparables : nous resterons donc soumis aux exigences d’un exposé logiquement ordonné en étudiant successivement ces quatre points.



Les mesures
Rappelons que mesurer une grandeur c’est chercher le chiffre qui caractérise cette grandeur au point de vue de la quantité. Tout peut se mesurer : poids, température, dureté d’un métal, viscosité d’un liquide, etc.., et même, comme nous le verrons bientôt, toutes les tendances ou facultés humaines de quelque ordre qu’elles soient.

Mesurer en radiesthésie comme dans la vie courante, c’est déterminer le chiffre qui caractérise quantitativement la grandeur en question : ce chiffre peut être en rapport avec une unité (comme les mesures de poids, de pression,…) ou un simple repère dans une échelle arbitraire (comme les mesures de température).

Pour effectuer la mesure, le radiesthésiste doit essayer des chiffres convenant que le réflexe pendulaire se manifestera lorsque le chiffre essayé sera celui qui mesure la grandeur à mesurer. Ce chiffre n’existe qu’en fonction de l’unité ou de l’échelle choisie : le radiesthésiste devra, comme tout homme qui mesure (tailleur, physicien, couturière, géomètre, etc…), connaître parfaitement la nature de la grandeur à mesurer et l’unité qu’il va employer.

C’est pour avoir négligé ces notions élémentaires que des radiesthésistes ont classé la radiesthésie par mesures parmi les opérations les plus difficiles. Cela est absolument faux. Nous verrons, dans des cas particuliers, avec quelle légèreté des opérateurs se lancent dans les mesures.

Le radiesthésiste n’obtiendra une mesure réelle qu’à condition d’avoir répondu clairement à ces deux questions préalables :
Qu’est ce que je mesure ?
Avec quelle unité ou dans quelle échelle ?
Par conséquent, le radiesthésiste qui mesure doit penser en même temps :
Au sujet dont il s’occupe
A la grandeur à mesurer pour ce sujet
A l’unité qu’il va employer
A l’appareil qui présente les chiffres successifs ou à ces chiffres successifs qu’il compte par un moyen quelconque
A saisir le moment où le réflexe pendulaire se produira.

Examinons rapidement ces divers points :
Le sujet
Ce point est le plus délicat de l’opération. Lorsque le radiesthésiste est certain de penser exclusivement au sujet qu’il veut étudier il est sûr de réussir, la question se posant sans ambiguïté.
Ainsi la photographie d’un individu qui n’est que description physique peut servir à une recherche psychologique ou morale de même qu’une lettre peut servir à la recherche d’une maladie, par conséquent, le radiesthésiste consciencieux, dont le devoir est de ne rien négliger pour réussir, choisira toujours la désignation la meilleure, celle qui évoque le mieux le sujet à étudier.



Si longtemps l’utilisation de la photographie a été considérée comme le moyen le plus sur, la fabrication d’un témoin comme je l’ai expliqué précédemment peut très avantageusement la remplacer. Aujourd’hui, suite au développement de l’informatique et des réseaux sociaux beaucoup se permettent de travailler à partir d’une photo présente sur leur écran d’ordinateur ce qui est tout simplement une hérésie. La photo sur l’écran ne porte pas les vibrations de la personne ou de l’animal recherché mais les vibrations de l’ordinateur, vibrations particulièrement basses et ne correspondant ni en intensité, ni en qualité à la vibration témoin que vous recherchez. Donc, si les réseaux sociaux en particulier et l’informatique en général permettent de trouver rapidement un professionnel et inversement des clients et des patients, il est absolument nécessaire d’imprimer tous les témoins que ce soit les photos ou les plans.

On peut tout employer pourvu que l’on pense au sujet que l’on veut désigner : que le pharmacien emploie l’urine du patient, le médecin une prise de sang, etc…, c’est simplement l’effet de la déformation professionnelle. Si vous ne pouvez donc avoir la photo de la personne à tester, faites un témoin potentialisé comme je vous l’ai expliqué, s’il est correctement fait vous vous rendrez compte que cela suffit amplement. Essayez des recherches avec des désignations analogues, la plupart de mes élèves y parviennent régulièrement, mais…, commencez avec des photographies qui ne réclament pas une attention aussi acrobatique de la pensée

La grandeur de l’unité
Toute indécision dans la nature de ce que l’on mesure ou dans l’unité que l’on emploie rend impossible la mesure par radiesthésie ; on pouvait le prévoir. Dans certains cas, la précision de la nature exacte de ce que l’on mesure ne s’obtient pas sans réflexion : vous verrez plus loin les mesures d’âges, d’indice de santé… et vous ferez votre profit pour préciser aussi rigoureusement que possible la nature de ce que vous serez amené à mesurer.

L’appareil de comptage
Certains opérateurs éprouvent ici une réelle difficulté, surtout s’ils n’ont pas suffisamment précisé les deux points précédents : nature et unité. Ils sont très gênés pour faire défiler devant leurs yeux, soit avec un appareil soit mentalement (dans le sens : calcul mental) des chiffres successifs où ils découvriront la mesure cherchée. Ils se trouvent exactement dans la situation de l’enfant qui commence à compter et pour qui la numération est encore très abstraite. Que fait l’enfant ? Il matérialiser le comptage en comptant sur ses doigts ou avec des bûchettes ; de cette façon, il arrive à différencier nettement le trois du deux et le cinq du quatre ; il compte des valeurs connues avec une unité définie.

C’est cette même gêne qui amena les sourciers de l’époque héroïque à se faire placer dans la main gauche de petits cailloux ou à frapper le sol à coups de pied ; simple façon humaine (même enfantine) de matérialiser le comptage et non méthode radiesthésique. Il n’y a pas de méthode des cailloux par plus que de méthode des coups de talons ; l’opérateur compte « sur des cailloux » ou sur « ses coups de pied » parce qu’ayant les mains occupées (au moins une), il ne peut pas compter sur ses doigts. La vérité toute simple apparaît quand on n’est pas aveuglé par la manie matérialiste au point de ne voir, devant un homme travaillant avec toute son intelligence, que des cailloux ou des pieds.

Lorsque nous travaillons à l’extérieur, debout et sans table ou objet pouvant en tenir lieu, nous comptons simplement comme je l’ai indiqué précédemment pour la recherche de la profondeur de l’eau par exemple. Au contraire, dans tous les autres cas, vous utiliserez le cadran de mesures que j’ai établi spécialement pour son emploi en radiesthésie et dont vous trouverez toute une panoplie très complète dans la suite du cours.
© Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/thimoleon

Mots clés : radiesthésie,diagnostic,recherche

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