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L'ARCHE DE MAÏA
Géraldine AMELIN
Sophrologue et maïeuticienne de l'âme, praticienne en psychogénéalogieEFT, PNL, chamanisme, tarots, spiritualité
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Géraldine AMELIN
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ARTICLES / PUISSANCE PERSONNELLE ET CRÉATIVITÉ

LA SOUVERAINETÉ PERSONNELLE

article de Géraldine AMELIN, publié le 2 janvier 2022
3 minutes 181 2


Dans une pièce de Herb Gardner intitulée -Des clowns par milliers- le protagoniste refuse de laisser son neveu de 12 ans à l’Assistance publique et il dit à ce propos ces mots puissants :

« Je veux qu’il sache exactement quelle est cette chose qui le rend unique, sinon, lorsqu’elle commencera à lui échapper, il ne s’en apercevra pas. Je veux qu’il garde les yeux ouverts et…qu’il voie…les possibilités infinies qui s’offrent à lui. Je veux qu’il sache que cela vaut bien la peine de bousculer le monde lorsqu’on le peut. Et je veux qu’il connaisse l’importante raison, subtile et dissimulée, pour laquelle il est arrivé sur terre sous la forme d’un être humain et non d’une chaise.»

Voilà deux ans maintenant que nous sommes ballotés d’ici de là, comme des chaises… réduits à des portions congrues et forcés à obéir sous la contrainte à des injonctions souvent absurdes et paradoxales.
Deux ans à expérimenter une crise sans précédents qui laisse chacun d’entre nous, selon ses ressentis, hagard, en mode pilote automatique, déconcerté et/ou fataliste ou au contraire remonté à bloc et résolu à en découdre, et ce quel que soit son positionnement ( pro ou anti… cet espace binaire dans lequel nous nous trouvons restreints et limités à l’extrême).

Il existe cependant une autre voie, et c’est de cette voie que j’ai envie de vous parler aujourd’hui.

C’est la voie de la souveraineté personnelle. Elle n’est ni dans la passivité, ni dans l’agressivité, elle ne se situe pas plus dans la servilité et le fatalisme, elle est à la fois dans l’assertivité et dans la liberté d’être, elle fait fi des contraintes arbitraires et ne plie pas sous le joug pernicieux de la culpabilisation.
Elle a une arme imparable, c’est sa conscience. Cette connaissance fulgurante et immédiate de ce qui se joue, en dehors des discours officiels, du battage médiatique et des campagnes de désinformation.

C’est notre petite voix interne. Elle se situe en chacun de nous, pour peu que nous nous saisissions de cette capacité universelle de nous en référer à sa sagesse.

Pour l’entendre, elle nécessite de faire le calme, le vide. Ce que les bouddhistes nomment la vacuité, cet état particulier qui nous permet de nous libérer à la fois des concepts erronés sur la nature exacte des choses mais aussi de notre assujettissement à une réalité apparente.

Il y a peu de temps, je recevais une jeune femme en séance, totalement déboussolée par la situation actuelle et les injonctions reçues. Elle me disait être complètement perdue et tiraillée entre ce qu’elle recevait et ce qu’elle ressentait, sans pouvoir pour autant discerner clairement et être en mesure de faire des choix.
Je lui ai donc demandé de se rendre à l’intérieur d’elle-même, dans cet espace de calme et de sérénité. Guidée par ma voix, les pratiques de respiration, de relaxation et de visualisation, elle est parvenue peu à peu à faire le vide. A se désolidariser instantanément de ce qu’elle croyait être LA réalité pour se connecter à sa sagesse intime. Il lui a fallu le temps de descendre au plus profond d’elle-même, pour aller toucher du doigt son ressenti émanant directement de sa sagesse immémoriale afin d’intégrer le message associé.

Ce fut clair, limpide et sans concessions. De ces concessions que nous pouvons faire pour aller dans le sens général pour ne pas heurter, par facilité ou par paresse, même si nous sentons que quelque chose ne tourne pas rond mais que nous sommes incapables de nous en affranchir.

Aller dans cet espace, c’est se relier non seulement à sa sagesse intime, à l’être souverain que nous sommes vraiment, mais c’est aussi se relier à quelque chose de bien plus grand que son petit soi. C’est se connecter à l’universel, à l’omniscient.
Là, nous ne sommes plus touchés par l’absurde et l’arbitraire, par le déni du vivant et par les lois que ce déni engendre.

Là nous sommes souveraines et souverains. Nous avons remis notre couronne en place. Nous avons quitté l’état de « chaise » pour embrasser celui de l’être lumineux, conscient de sont état et de sa sagesse et relié au grand Tout.


Je nous souhaite à tous de nous réapproprier cette souveraineté personnelle et cette sagesse uni-vers-elle qui luit comme un cristal au cœur de notre être et de la mettre au service du monde.
Une souveraineté personnelle qui ne se contentera pas de peu ou de quelques miettes concédées çà et là par un pouvoir en fin de règne, pas même de toutes ces petites tergiversations autour du nombril de chacun, mais qui se mettra pleinement et sans compromis au service du nouveau monde.

Il est grand temps pour nous de sortir de l’état de chaise.

-Tableau d'Oleg Tchoubakov-
© Géraldine AMELIN
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/geraldine-amelin

Mots clés : puissance, sagesse, conscience, universalité, transformation, monde

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