Massage du Dragon Ce massage s'adresse à toutes personnes désireuses d'aller, équilibrer et harmoniser, toutes les facettes présentes à l'intérieur de l'individu et dans tout ses corps (physique et subtils).
Le soin sera accompagné par les quatre éléments fondamentaux et indispensables au bon fonctionnement de l'être.
La Terre permet d'enraciner et de se relier aux forces naturelles de notre planète, et pouvoir lui rendre ce qui est inutile, tout en recevant l'abondance de l'énergie terrestre.
Un mouvement de fluidification est amené avec cette eau qui circule à l'intérieur et transporte tout ce qui est nécessaire, décristaliser les émotions enfouies et programmer de nouvelles informations.
Le feu vivifiant vient amener la juste alchimie entre ce qui doit être nourri ou transmuter, régulant le foyer de vie à sa température idéale, en entretenant la flamme du vivant.
Les mots et messages sont soufflés, libérés et guidés, en reliance avec ce qui est présent dans l'air et dans la structure de la personne recevant, laissant circuler un nouveau souffle léger.
...Et puis l'éther, qui vient lier et alchimiser tout cela, dans ce que la personne est en capacité d'accueillir, d'intégrer, dans l'écoute de son rythme.
Inspirer de mes expériences personnelles et formations, je me laisse guider par les énergies présentes des Dragons, source subtile et puissante de connaissance et de guérison.
Le massage vient toucher la globalité de l'être, tout en amenant une lecture verbale de ce qui est présent et de ce que je perçois.
Le massage peut-être orienté vers une problématique particulière, ou simplement être vécu avec ce qui est là.
Massage à l'huile, sur table ou au sol.
Les séances que je propose ne sont pas des actes médicaux et ne sauraient par conséquent en aucun cas remplacer les soins prodigués par votre médecin. Tout traitement médical et médicamenteux ne doit pas être interrompu sans l'avis de votre médecin.
Conformément à la loi du 30 avril 1946, au décret N° 60665 du 4 juillet 1960, aux articles L489 du décret du 8 octobre 1996.
Avis
