www.Theraneo.com est une plateforme qui regroupe des sites de thérapeutes
En poursuivant votre navigation, vous acceptez l’utilisation de cookies, en savoir plus
FERMER

NAÎTRE ET EXISTER
Gabriel VOISIN EI
Sophrologue Existentiel et Educateur HypnoNaissancesophrologie, stress, grossesse, accouchement, naissance
Naître et Exister
Gabriel VOISIN
ARTICLES
ARTICLES

ARTICLES / INTERVIEW

LA JOURNÉE INTERNATIONALE DES DOULAS : HONORONS CEUX QUI RENDENT POSSIBLE UN COMMENCEMENT DOUX

article de Gabriel VOISIN, publié le 21 mars 2024
16 minutes 300 3
Vendredi 15 mars 2024, j'ai rencontré Claire Pottier, qui exerce en tant que Doula à Pau. Nous nous sommes retrouvés sous un ciel bleu magnifique au théâtre de verdure pour que je puisse l'interroger sur son activité de doula. C'est une profession avec laquelle je partage un regard sensible sur le début de la vie.



Gabriel Voisin : Bonjour Claire, pourrais-tu te présenter brièvement ?
Claire Doula : Bien sûr. Je suis une Parisienne d'origine, ayant grandi dans la capitale. J'ai poursuivi mes études en géologie en région parisienne. Après cela, j'ai débuté ma carrière professionnelle en Australie, où j'ai travaillé pendant deux ans. Avant de rentrer en France, j'ai eu l'opportunité de voyager à travers le monde. C'est un peu mon parcours en quelques mots.

Gabriel Voisin : Cela a donc été une expérience enrichissante pour toi. Comment décrirais-tu la suite de ton parcours professionnel ?
Claire Doula : En effet, cette expérience a été très formatrice. De retour en France, mon conjoint et moi nous sommes installés en région parisienne. J'ai trouvé un poste dans le domaine de la géologie, un domaine qui m'a toujours intéressée. Cependant, au fil des années et notamment avec l'arrivée de mes deux premiers enfants, ma perspective a évolué.

Gabriel Voisin : Claire, pourquoi as-tu décidé de devenir Doula? Qu'est-ce qui t'a amenée à choisir cette voie?
Claire Doula : C'est plutôt mon cheminement personnel qui m'a conduite vers le métier de doula. J'ai réalisé que mes nouvelles valeurs étaient plus en harmonie avec ce métier, qu’avec le métier de géologue.

Gabriel Voisin : Est-ce que la maternité a joué un rôle dans ce changement de valeurs, dans ce que tu as traversé pendant cette période?
Claire Doula : Oui, je dirais que la maternité a été le déclencheur. Ma conscience écologique a été la première valeur à mûrir et à évoluer. En tant que géologue travaillant dans le secteur pétrolier, j'étais consciente des impacts environnementaux de mon travail. Cependant, devenir mère a renforcé mon désir de prendre soin de l'environnement pour le bien-être de mon enfant. J'ai ainsi pris conscience de l'importance de veiller à son environnement et à sa santé.

Gabriel Voisin : Peux-tu nous donner un aperçu du métier de doula, nous le définir succinctement?
Claire Doula : Une doula est généralement une femme au service des femmes et des familles, les accompagnant tout au long de la période périnatale, de la grossesse à la période post-natale. Elle peut également intervenir dans des moments plus délicats, comme les parcours en PMA ou les deuils périnatals. Bien que ma spécialisation soit axée sur la période périnatale, les doulas peuvent également intervenir dans d'autres moments de vie, comme la fin de vie. L'accompagnement et le soutien émotionnel sont au cœur de notre travail, car le métier de doula n'est pas médical. Il est important de souligner que les doulas ne remplacent pas le suivi médical, et interviennent en complément de celui-ci.

Gabriel Voisin : Claire, pourrais-tu nous éclairer sur le rôle d'une doula dans la vie des futurs parents ?
Claire Doula : Une doula ne se place ni devant ni derrière la personne qu'elle accompagne, mais à ses côtés. Contrairement à un coach qui peut adopter une posture directive, la doula offre un soutien sans influencer, ni inciter. Elle accompagne le projet de la femme et du couple sans décider leur place.

Gabriel Voisin : Donc, si je comprends bien, la présence des futurs papas, ou des conjoints, n'est pas exclue lorsque tu accompagnes une femme enceinte ?
Claire Doula : Tout à fait. Au contraire, la présence et l'implication des futurs papas sont encouragées. Souvent, ce sont les femmes qui me contactent, mais les conjoints sont également présents, même s'ils peuvent être un peu en retrait au début. Mais au fur et à mesure, ils s'impliquent davantage. Les femmes d'aujourd'hui recherchent souvent cette implication de leur partenaire dans leur projet de grossesse, d'accouchement et de période périnatale.

Gabriel Voisin : Peux-tu nous parler de ton expérience personnelle avec la grossesse et l'accouchement, et en quoi cela a influencé ta décision de devenir doula ?
Claire Doula : Cette question est très intéressante. En tant que doula, je dois mettre de côté mon expérience personnelle lorsque j'accompagne les familles. Mon histoire n'a pas sa place dans la leur. Mes expériences de grossesse, d'accouchement et de période postnatale ont contribué à ma présence aujourd'hui, mais je fais en sorte que cela ne m'interfère pas dans mon accompagnement. Pendant ma formation pour devenir doula, j'ai pris le temps de faire une introspection sur mes propres histoires afin qu'elles ne posent plus de question ni de problème. Aujourd'hui, je suis en mesure de mettre mon histoire de côté lors de mes accompagnements.

Gabriel Voisin : Chez tes consœurs, est-ce autant des accouchements difficiles que des expériences très satisfaisantes qui les ont motivées à devenir doulas ?
Claire Doula : Il y a les deux. Personnellement, j'ai rencontré plus de collègues ayant vécu des accouchements difficiles, mais il y a aussi des histoires d'accouchements incroyables. Certaines personnes ont été inspirées à devenir doulas après avoir vécu des expériences personnelles difficiles lors de leur accouchement. D'autres ont été motivées par des expériences satisfaisantes et souhaitent offrir un soutien similaire aux autres femmes.

Gabriel Voisin : Quelles formations as-tu suivies pour devenir doula et pourquoi as-tu choisi ces formations en particulier ?
Claire Doula : Pour moi, il était essentiel de choisir une formation qui me correspondait. J'ai pris le temps de faire des recherches. J'ai opté pour une formation en présentiel, car je considère que ce métier est avant tout humain. J'ai choisi la formation du Centre Galanthis, référencée par l'association des Doulas de France. Cette formation m'a permis de suivre différents modules et heures de formation, ce qui m'a donné la possibilité d'adhérer à l'association et de signer la charte. Cette formation, qui a duré plus d'un an pour moi, comprenait des sessions en présentiel avec des temps de pause entre chaque module. Cela m'a permis de préparer les sessions suivantes, de faire des retours sur ce que j'avais appris et de continuer à travailler en équipe avec les autres stagiaires.

Gabriel Voisin : Claire, est-ce que l'école de formation propose un système de marrainage ou de supervision entre doulas ?
Claire Doula : Oui, l'association DDF propose un système de marrainage, et je pense sérieusement à en bénéficier bientôt. Le centre de formation propose également ce qu'ils appellent une "pépinière". Cela signifie qu'après la fin de la formation, nous restons en contact avec une formatrice pendant un an, ce qui nous permet de poser toutes nos questions sur le démarrage de notre activité. De plus, j'ai eu la chance de faire partie d'une promotion très soudée. Nous échangeons constamment, ce qui nous offre un soutien et une solidarité précieux.

Gabriel Voisin : Qu'est-ce qui te passionne le plus dans ton métier de doula ? Quels aspects trouves-tu les plus gratifiants ?
Claire Doula : Les aspects gratifiants sont nombreux pour moi :
Tout d'abord, je suis honorée que les femmes et les couples se confient à moi dans ces moments intimes et significatifs de leur vie. Chaque histoire est unique et riche, et cela m'émeut à chaque fois.
Ensuite, j'apprécie de voir les personnes évoluer au cours de leur parcours, de les voir trouver leurs propres ressources et gagner en confiance. C'est une expérience humaine profonde.
De plus, pouvoir intervenir pendant la période postnatale pour favoriser le lien et lutter contre l'isolement est une source de satisfaction.
Enfin, ce métier me permet de me sentir utile à ma manière, de contribuer au changement pour une meilleure considération des femmes, de favoriser des expériences positives autour de la naissance et de faire évoluer les mentalités.
En bref, voir les (futurs) parents plus confiants et sereins, avec une expérience positive autour de la naissance, pour créer un lien familial unique.

Gabriel Voisin : Comment vois-tu ton rôle par rapport aux professionnels de santé, comme les médecins et les sages-femmes ? Comment travailles-tu en collaboration avec eux ?
Claire Doula : Pour moi, il est primordial de ne pas m'isoler dans mon travail. Je suis devenue doula pour que les femmes ne vivent pas leur maternité ésseulé. Je m'efforce donc de travailler en équipe. Le métier de doula est complémentaire à celui de sage-femme. Il est important d'engager la conversation avec tous les professionnels de santé liés à la périnatalité. Bien que je n'aie pas beaucoup d'interactions avec les sages-femmes, je communique régulièrement avec une gynécologue. Par ailleurs, je travaille avec d'autres professionnels comme des naturopathes, des professeurs de yoga, des photographes, des acupuncteurs, des hypnothérapeutes et des sophrologues. Cela me permet de réorienter mes clients vers d'autres professionnels lorsque cela est nécessaire, car je connais mes limites en tant que doula.

Gabriel Voisin : Peux-tu partager une expérience marquante ou un moment significatif que tu as vécu en tant que doula ? Qu'est-ce qui en a fait un moment particulièrement spécial pour toi ?
Claire Doula : Il y a tellement d'expériences marquantes pour moi. Ce qui me touche le plus, c'est de voir le regard des personnes que j'accompagne à la fin de notre période d'accompagnement ou après la naissance de leur enfant. Leurs yeux pétillent de bonheur, de soulagement et de gratitude. Ils se sentent soutenus, écoutés et encouragés. C'est un immense cadeau pour moi. Par exemple, j'ai accompagné une cliente qui avait un premier bébé en siège. Elle recevait des avis divergents de la part des professionnels de santé, ce qui semait le doute dans son esprit. Pouvoir l'écouter, l'aider à clarifier ses pensées et l'accompagner dans ses questionnements lui a permis de vivre un accouchement satisfaisant, malgré les appréhensions initiales.

Gabriel Voisin : C'est une expérience inspirante que tu partages. Les défis extraordinaires comme les accouchements en siège mettent en lumière les ressources extraordinaires que les personnes possèdent en elles-mêmes.
Claire Doula : Absolument. J'ai une confiance totale dans les ressources des personnes que j'accompagne. Mon rôle est simplement de les aider à prendre conscience de ces ressources. Cependant, je tiens à souligner que faire appel à une doula ne garantit pas nécessairement un accouchement sans circonstances indésirables. Il y a des mystères dans la vie et des facteurs externes qui peuvent influencer le déroulement de l'accouchement. Cependant, le soutien et l'accompagnement d'une doula peuvent aider les parents à se sentir mieux préparés et soutenus, quel que soit le dénouement de l'accouchement.

Gabriel Voisin : L’accouchement, de ce que j’ai pu en percevoir en tant que papa, c’était vraiment des sensations à accueillir et à traverser, tout ce qui concerne les vagues utérines, l’ouverture du bassin pour laisser la place au bébé de passer, la voie de naissance, tout ça se sont d’abord des sensations et quand on se prépare dans le mental on n’est pas dans la sensation.
Claire Doula : Je trouve que c’est quand-même intéressant de savoir par exemple pourquoi il y a des contractions, pourquoi c’est douloureux, et nommer ces douleurs, etc… parce que c’est quelque chose qui peut faire peur. Une question très fréquente qui revient « comment faire pour que je n’ai pas mal ? » ou encore cette affirmation « j’ai peur d’avoir mal ». Et en fait, venir comprendre à quoi servent ces douleurs, nommer les douleur : est-ce que ça tire ? Est-ce que ça chauffe ? Est-ce que ça pince ? Parce qu’il y a plein de douleurs possibles, et venir comprendre leur utilité ça peut être utile et après peut-être une fois qu’on sait ça, on peut lâcher le mental et revenir sur les sensations. Et c’est intéressant de faire la différence entre le mot douleur et souffrance, parce que pendant l’accouchement on parle de douleur et pas de souffrance.

Gabriel Voisin : Comment penses-tu que le métier de Doula contribue au bien-être des parents et à une expérience plus positive de la grossesse, de l'accouchement et du post-partum ?
Claire Doula : On peut résumer un peu tout ce qu’on a dit, c’est offrir un espace pour déposer tout ce qu’on a sur le cœur, poser des questions aussi parce que parfois avec la sage-femme ou l’équipe médicale on ose peut-être un petit peu moins poser des questions, on est un petit peu plus impressionné par les médecins alors que moi je me place vraiment dans une posture horizontale à côté d’eux, ils peuvent poser toutes les questions et parfois je ne saurai pas répondre mais c’est pas grave on va chercher ensemble les réponses, il y a des fois où je vais rediriger vers un médecin, une sage-femme ou un psychologue, en fonction de la situation. Donc cet espace d’écoute, d’information, de partage avec d’autres professionnels. Ça peut aussi être apporté une petite touche dans le mieux-être avec des massages et massages au Rebozo. Ce sont des tissus, des châles d’origine mexicaine et d’Amérique latine. Ce sont aussi des moyens, après s’être délester par la parole, une manière de lâcher le mental et de revenir dans les sensations et de lâcher aussi le corps du coup par le massage et le massage au Rebozo.



Gabriel Voisin : Le Rebozo ça peut être pour le postpartum aussi, il a un peu cette fonction-là.
Claire Doula : Ça peut être pour le postpartum, moi j’aime beaucoup aussi le proposer pendant la grossesse parce qu’on peut venir soulager le bassin, on peut venir lui apporter de la mobilité. On peut venir travailler un espèce de lâcher-prise qu’on peut vivre pendant l’accouchement tout en ayant une maîtrise du corps. Ce qui se passe aussi pendant l’accouchement savoir lâcher-prise tout en étant dans le contrôle, il faut quand-même avoir une certaine tonicité. Le Rebozo permet aussi de montrer que malgré le poids qu’il supporte, le bassin reste mobile, il est présent. Pendant l’accouchement ça peut être aussi un outil sympa que je peux montrer au papa pour venir soulager les contractions par exemple, ou pour venir se suspendre. Et en période postnatale il est principalement connu pour venir accompagner la fermeture du bassin. Il est utile aussi à beaucoup de passage de vie, j’aime beaucoup l’offrir pour venir fermer une page et venir en ouvrir une autre, ça peut être une reconversion professionnelle, ça peut être un déménagement, une séparation, un deuil.



Gabriel Voisin : Quels sont les défis auxquels tu as été confrontée en tant que Doula ? Comment les as-tu surmontés ?
Claire Doula : Quand j’ai été dans ma recherche de reconversion parce que ma reconversion ne s’est pas faite non plus du jour au lendemain en tout cas trouver le métier de doula c’est fait en plusieurs années. Une fois que j’ai su ce qu’était le métier de doula, là ça a été un déclic, mais toute la période avant de recherche de métier a été assez longue en fait. J’ai commencé à vouloir me reconvertir à la naissance de ma deuxième et c’est vraiment quand ma dernière a eu 1 an que j’ai su que je voulais être doula. Et quand je l’ai verbalisé alors, le premier à qui j’ai pu le dire était mon compagnon qui connaissait déjà ma démarche donc ça s’est bien passé...Même s'il m'a posé pas mal de questions qui m’ont perturbée, mais ce n’est pas grave, ça m’a fait avancer. Ensuite, j’ai dû l’annoncer à mes parents qui m’avaient aidé à financer mes études de géologie, donc ça était un peu une surprise, et en fait, ils l’ont très bien pris. J’ai réussi à mettre les mots et je pense que quand ils ont vu comment j’en parlais de ce métier-là, ils ont vu que ça me correspondait, donc il n’y a même pas eu de remise en question de la part de mes parents.
Après, je pense que le premier défi ça a été : je me suis formée voilà, ok, c’était bon, mais après fallait s’installer, et en fait, je me suis mise à mon compte en tant que autoentrepreneur, et là en fait il ne faut pas enfiler que la casquette de doula, il faut enfiler tout plein de casquettes différentes et ça c’était compliqué surtout que pour moi qui n’avais jamais travaillé seule, le principal défi a été de m’entourer. Ensuite, ça a été de faire connaître le métier, de me faire connaître moi, parce que sur Pau je ne suis pas du tout la seule doula. Et maintenant mon défi principal c’est d’aller toquer à la porte de toutes les sages-femmes et du corps médical.

Gabriel Voisin : Les premières rencontres avec les clients, avec le corps médical, ça s’est bien passé ?
Claire Doula : Avec le corps médical je trouve que ce n’est pas simple, je ne suis pas vraiment à l’aise à parler, à me mettre en avant,… mais j’ai l’impression de mon expérience, que ça se travaille un peu au corps quand-même. C’est-à-dire que les premières expériences que j’ai eues, j’ai eu de la chance de tomber sur une gynécologue dans mon réseau privé et c’est comme ça que j’ai commencé à communiquer avec elle. Et parce qu’elle était en congé maternité, qu’elle avait du temps je lui ai dit « viens à la maison on va parler », mais il a fallu du temps pour déconstruire tout plein de choses sur le métier de doula et ça y est maintenant je pense qu’elle comprend bien ce qu’est le métier de doula, elle me recommande à ces patientes. Mais ça prend du temps, ça peut pas se faire en 5 minutes entre deux consultations pour une sage-femme c’est compliqué.
Après c’est normal, ce n’est pas un métier connu, ce n’est pas un métier reconnu, c’est un métier où il peut y avoir plein de préjugés et c’est normal dans tous les métiers qui sont un peu différents, les naturopathes ils passent par-là, les ostéopathes ils sont passées par-là, et bien voilà on passe par-là. Après comme dans beaucoup de métiers il existe de tout, et comme le métier de doula n’est pas reconnu par l’Etat, n’importe qui peut se proclamer doula. C’est pour ça que c’est important pour les personnes qui veulent faire appel à une doula, qu’elles vérifient la formation qu’elle a faite, qu’elle vérifie ses valeurs, qu’elle prenne contact avec elle, qu’elle en contacte plusieurs pour qu’elle voit la doula qui lui correspond, avec qui ça va passer.

Gabriel Voisin : Enfin, quel message aimerais-tu transmettre aux futurs parents ou à ceux qui pourraient envisager de faire appel à une Doula pour les accompagner dans cette étape de leur vie ?
Claire Doula : La doula va être un peu un fil conducteur sur toute cette période-là, on peut la contacter dès la période de préconception, ça peut être aussi à la fin de la grossesse, mais ça peut quand-même être comme une présence, comment on dit ? Un phare dans la nuit qui peut être présent sur toute cette période-là. Et donc, c’est important qu’on se sente bien avec elle, que le contact passe. Prenez le temps de bien choisir votre doula, vérifiez ses qualifications, ses valeurs, et assurez-vous que vous vous sentez à l'aise avec elle. La présence d'une doula peut vraiment faire une différence positive dans votre expérience de la grossesse, de l'accouchement et du post-partum, en offrant un soutien émotionnel, pratique et informationnel tout au long du chemin.
© Gabriel VOISIN
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/naitre-et-exister

Mots clés : doula, journée, , internationale, grossesse, accouchement

Envoyer cet article à un ami
Vous



Votre ami(e)




je ne suis pas un robot
Partager sur Facebook Partager sur Twitter S'abonner à ma lettre d'info Copier article sur ma Zenopage
Identifiez-vous d'abord sur votre Zenopage, puis rechargez cette page :
M'IDENTIFIER
Vous n'avez pas de Zenopage ? créez-la gratuitement cliquez-ici
Articles similaires sur Théranéo




POSTER UN COMMENTAIRE

indiquez votre nom ou pseudo


homme    femme
 

cliquez-ici pour choisir votre photo
sinon une photo sera choisie au hasard
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 





Démarcharge commercial interdit
« Changer le monde, c'est d'abord changer notre façon de naître » Michel Odent