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Jean-Claude THIMOLÉON JOLY EI
Bio-énergéticien-Géobiologue, Enseignant Reiki, Toucher Quantique et LaHoChi Phytothérapeute, Aromathérapeute, communication animale, formateur, conférencierPhytothérapie, Aromathérapie, Conférences, enseignements
Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
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ARTICLES / OLIGO-ÉLÉMENTS

OLIGO-ÉLÉMENTS ET MALADIES

article de Jean-Claude THIMOLÉON JOLY, publié le 6 octobre 2020
15 minutes 1075 1


Manquons-nous d'oligo-éléments


Grâce à la nourriture variée qui met à disposition de chacun des aliments "élevés" sur des terres différentes, nous disposons, en règle générale, de suffisamment d'oligo-éléments. Nous ne pouvons donc pas parler, sauf cas extrême, de carence dans la ration alimentaire. Par contre il ne suffit pas d'avoir des oligo-éléments en suffisance, encore faut-il qu'ils soient actifs et métabolisables ; sur le nombre incommensurable de réactions physiologiques d'un organisme, il est évident qu'un bon nombre sont continuellement bloqués.

Dans certaines proportions, cela reste compatible avec un bon fonctionnement de l'ensemble de l'organisme ; mais la proportion augmente, des blocages plus importants peuvent se produire et ainsi de suite jusqu'à une carence ou une maladie déclarée.

L'ABC de la chimie nous explique que les atomes sont constitués d'un noyau entouré d'un cortège d'électrons. Leur activité dépend essentiellement des propriétés des électrons superficiels, à savoir :

de leur électrovalence,
de l'électronégativité,
de leur potentiel de ionisation,
de leur potentiel d'oxydo-réduction,
des types de liaison des atomes.

L'ABC de la biologie nous apprend que l'activité des oligo-éléments se situe surtout au niveau des enzymes qui accélèrent ou freinent des réactions propres à la vie de l'organisme qui, sans eux, se feraient trop lentement ou trop vite et en demandant plus d'énergie. Ils ont un rôle de régulateur, d'agent facilitant une réaction normale, et visent à équilibrer les échanges métaboliques grâce auxquels l'organisme acquiert la possibilité de rétablir lui-même son propre équilibre biologique.

Chaque réaction, souvent réversible, se fait à des conditions très spécifiques, soit :

Le pH du milieu,
Le rH2
La résistivité électrique
La température
La concentration des éléments, même utiles.
L'enchaînement de réactions préalables (synergie des actions)
Le rythme
La présence ou l'absence d'autres éléments.

Dans la pratique les causes de blocage sont évidemment les perturbations des conditions citées plus haut ; elles se retrouvent dans notre mode de vie sous forme d'agressions provenant du milieu (stress) sous les appellations suivantes :

Rythme,
Bruit,
Pollution,
Déséquilibre de la nutrition (quantitatif et qualitatif)
L'absorption de médicaments et d'autres substances chélatantes analogues.
L'absorption d'oligo-éléments ou de macro-éléments à tort et à travers
Les autres dysfonctionnements qui agissent en synergie et en provoquant d'autres
Emotions ou perturbations psychiques.

A ce sujet, il est bon de préciser l'importance des réactions psychiques. Qui nierait l'effet physiquement violent d'une grande frayeur : tremblement, frilosité et sudation ; ou d'un grand chagrin qui peut causer une aboulie, laquelle conduit souvent à des états lésionnels.

Ces perturbations biologiques sont d'ailleurs à mettre en parallèle avec ce renoncement à la vie (dans le sens "activité"). Ces réactions du psychisme sur le physique jusqu'à un état lésionnel ne s'expliquent que par une perturbation biophysique des réactions et des échanges.


Comment y remédier ?


Par d'importants apports en oligo-éléments ? Certainement pas. Si cela pouvait être le cas, l'apport de la nourriture suffirait comme je l'ai déjà mentionné. Il faut réintroduire dans l'organisme des biocatalyseurs aux quantités-traces précises de la physiologie, pour remettre en marche tout un ensemble de fonctions liées les unes aux autres aux niveaux les plus subtils du métabolisme.

Comme il est démontré dans toutes les expériences de mesure de la réactivation d'enzyme, après blocage provoque à 100% par des moyens chélatants, cette réactivation se fait toujours par un apport sous forme de solution ionisée du catalyseur métallique à des teneurs de l'ordre du ppm et en dessous.

Ceci est le cas pour les quelques 700 enzymes dont le rôle joué par le coenzyme, la teneur coenzyme-substrat, le pH et la chaleur optimale, a été démontré lors d'expériences scientifiques. Cette forme d'apport et ces teneurs sont confirmées par George K. Davis, Université of Florida, dans ses travaux de toxicologie, où il démontre qu'un métal arrive plus rapidement à sa dose toxique sous forme ionisée, car il est plus assimilable. Ceci s'explique par les données physico-chimiques dont nous avons parlé.

L'apport quantitatif et qualitatif réalisé en oligothérapie est donc conforme à toutes les expériences biologiques déjà citées, à savoir :

1 - L'apport est ionisé.
2 - Il est de l'ordre du ppm et moins. A ce propos, rappelons que :

Un milliardième de gramme de métal contient 2,5 billions d'atomes et que pour réactiver une molécule d'une enzyme, il suffit d'un à une dizaine d'atomes (exemple : la carboxypeptidase, la cytocupréine humaine dont le maximum d'activité se situe de 200 à 240 nanogramme/mol. de cuivre et qui baisse entre 240 et 400 pour disparaître à 675 : sa teneur est de 2 atomes g/mol.).

On ne cherche qu'à donner une étincelle pour relancer les actions bloquées de ces éléments pourtant présents dans l'organisme.

Une plus grande concentration augmente le risque qu'ont ces éléments de former des agrégations trop fortes entre eux et de n'être plus facilement libres pour les liaisons utiles.

En abaissant une concentration, on augmente la surface de contact donc les possibilités de liaison pour l'assimilation.

Ces deux points permettent une rapide disponibilité des oligo-éléments dans l'organisme, car il sont alors immédiatement transportables et utilisables. En effet, contrairement à une structure organique qui doit préalablement être dégradée, l'apport ionisé selon la loi d'Arrhénius, ne retenant pratiquement pas les oligo-éléments, les met immédiatement à disposition de l'enzyme transporteuse pour être amenée là où ils seront utilisés.

Les docteurs Sutter, Ménétrier, Senn et Picard ont bien vu l'intérêt de l'utilisation thérapeutique des oligo-éléments et ils ont mis au point une méthode simple, claire, logique de soins à base d'oligo-éléments, méthode on ne peut plus naturelle. Les catalyseurs minéraux faisant fonctionner notre organisme, lorsque celui-ci est perturbé, il est naturel d'agir par ces catalyseurs pour en rétablir le bon fonctionnement, mais à des doses compatibles physiologiquement.

Cette méthode est appelée oligothérapie ou médecine fonctionnelle ou encore médecine orthomoléculaire (Ménétrier), car elle a pour but de rétablir les fonctions perturbées. De plus, en s'attachant à soigner les tendances qu'a une personne à faire telle ou telle maladie (diathèse), elle s'occupe plus des causes que des symptômes et elle personnalise les soins puisqu'elle s'intéresse plus au malade qu'aux maladies.


Différences avec l'allopathie


Qu'est-ce qui différencie l'oligothérapie de l'allopathie et de la médecine officielle ? Outre le fait qu'elle utilise les oligo-éléments qui sont des catalyseurs des fonctions de l'organisme, elle aborde la maladie d'une façon tout à fait différente : elle étudie en priorité le terrain maladif pour soigner l'organisme dans son ensemble et accessoirement les symptômes déclarés ; elle soigne plus des malades que des maladies.


Qu'est-ce que la maladie ?


La maladie est un dérèglement dans le fonctionnement normal de nos organes : albuminurie, diabète, arythmie cardiaque, etc..., dont les causes peuvent être multiples : attaque virale ou par germes pathogènes, grippe, fièvre typhoïde, par exemple.

Ce sont là des cas simples où le diagnostic médical est relativement facile et les médicaments à employer connus. Et il y a les autres cas : soit que la maladie est facile à identifier mais difficile à combattre (le vulgaire rhume de cerveau par exemple), soit que les troubles ont une origine inconnue et ne permettent pas d'instaurer un traitement classique.

C'est alors que l'on est fatalement conduit à rechercher, dans un traitement de terrain essentiellement polyvalent, un espoir et une solution que l'on n'a pu trouver dans un traitement spécifique.

La maladie est le produit de deux facteurs, une attaque extérieure contre un organisme déficient. Il est évident que lorsqu'une épidémie de grippe se déclare dans une ville et que 20% de la population sont touchés, le reste l'a été également. Mais les organismes en bon état ont eu raison des attaquants, la phagocytose a joué à plein et les assaillants ont été vaincus. C'est ici que nous retrouvons la fameuse phrase du Professeur Bernard : "Le microbe n'est rien, le terrain est tout."

La maladie résulte au moins de deux causes. L'une prépare le terrain en diminuant l'autodéfense. Elle est générale. L'autre déclenche une agression contre certains organes. Elle est spécifique.
C'est alors que nous entrons dans une modification profonde de la technique : il y a deux façons d'arriver à la guérison d'un malade et elles peuvent, bien entendu s'appliquer simultanément.
On peut :

S'attaquer directement à la maladie, soit par un remède, un vaccin, etc.., ou
Rendre le terrain impropre au développement de la maladie et laisser l'organisme organiser sa défense.

La première méthode, médicalement classique, suppose qu'il a été possible au médecin de diagnostiquer la maladie à laquelle il avait affaire et prescrire en conséquence les remèdes idoines en n'oubliant pas le précepte de Galien : "Primum non nocere.". Ce n'est pas toujours facile car l'estomac, le foie ou les reins peuvent ne pas apprécier le remède prescrit pour le coeur par exemple.

La seconde méthode part d'un autre postulat : puisque cet individu est malade, c'est qu'il n'était déjà pas bien portant ; sinon, la maladie ne se serait pas installée. Il faut donc remettre en état son autodéfense et laisser la nature se charger des opérations, sécréter les anticorps nécessaires, provoquer la phagocytose, etc...

La guérison d'une maladie est donc aussi le produit d'au moins deux facteurs : soit une thérapeutique spécifique qui neutralise l'agression, soit l'action des mécanismes d'autodéfense du sujet qui remonte la pente, répare les dégâts et rend l'organisme résistant à une nouvelle agression.

Dans le premier cas, la médecine s'en occupe généralement, mais l'oligothérapie aussi parfois avec cet énorme avantage de ne présenter aucun inconvénient secondaire si elle est correctement pratiquée.

Cependant, il y a des organismes qui sont entre les deux états : les "patraques", les déprimés, ceux que l'on qualifie, bien à la légère, de malades imaginaires, tous ceux devant qui le médecin hésite, soucieux de "ne pas nuire". Tous ceux-là sont justiciables de la méthode hippocratique, laisser agir la nature, mais en lui redonnant les moyens qu'elle avait perdus, en remontant le tonus et l'autodéfense.

Dans la pratique, il semble donc que l'on aura toujours intérêt à conjuguer les deux méthodes, leurs inconvénients respectifs disparaissant alors que leurs avantages s'additionnent. L'inconvénient de la méthode médicale s'attaquant à la maladie plus qu'au terrain, laissant ainsi la porte ouvertes aux rechutes, mais d'une action plus immédiate, et la méthode "renforcement de l'autodéfense" moins rapide mais permettant une réduction quantitative des remèdes, garantissant contre les rechutes et réduisant dans la plupart des cas la durée de la maladie.


Possibilités et limites de l'oligothérapie


L'oligothérapie s'adresse surtout à la part fonctionnelle des maladies. Les lésions sont généralement hors de portée des oligo-éléments. En effet, la majorité des patients qui encombrent les cabinets médicaux sont des "mal portants" dont il importe de connaître le terrain pour le traiter d'une façon personnalisée. Il ressort donc que l'oligothérapie s'applique d'abord aux maladies fonctionnelles et ses grands succès se trouvent dans ce domaine.

Comme les dysfonctionnements sont les précurseurs des lésions, c'est assurément la médecine préventive par excellence. Toutefois, il est bon de signaler que, dans trois domaines particuliers, l'oligothérapie prétend à une véritable thérapeutique curative :

Dans les maladies infectieuses, elle peut, par l'utilisation du cuivre seul ou en association comme manganèse-cuivre, cuivre-or-argent, calcium-cuivre-zinc et cuivre-magnésium-manganèse-zinc-or-argent, agir de façon préventive en supprimant la chronicité de ces maladies chez des personnes à l'autodéfense naturellement faible. Mais elle peut, au même titre que les antibiotiques, couper une grippe et ce, plus rapidement si la maladie est prise au début.

Mais surtout avec l'énorme avantage de ne pas comporter d'asthénie post grippale, puisque c'est sur la capacité de l'organisme à se défendre que l'on agit.

Dans tous les syndromes allergiques, comme l'allergie pure, l'asthme et l'eczéma, l'oligothérapie connaît de grands succès même sur des cas fort anciens.

C'est dans le domaine de l'arthrose que l'oligothérapie devient une des rares thérapeutiques capables d'améliorer des états où d'autres ne sont que des palliatifs capables de soulager la douleur. L'oligothérapie elle, au contraire, peut véritablement faire régresser l'arthrose et obtenir des récupérations tissulaires. Ceci fera peut-être bondir de nombreux médecins, mais qu'ils sachent que l'expérimentation qui permet de l'affirmer a été faite par plusieurs centaines de médecins depuis une trentaine d'années et repose sur plus de 75.000 cas cliniques. En outre, il faut préciser que ces régressions d'arthrose sont parfois (25 % des cas) constatables par radio. Les ouvrages du Docteur H. Picard, qui fut à la base de cette application des oligo-éléments, en donnent de nombreux exemples.


Critères de jugement de l'efficacité de l'oligothérapie


Avec les antibiotiques, les remèdes chimiothérapiques, etc..., on a pris l'habitude d'observer une action rapide sur les lésions et d'obtenir un prompt soulagement des douleurs. Il ne faut pas, bien évidemment, rechercher cette rapidité d'action dans les traitements à base d'oligo-éléments, surtout dans les traitements d'arthrose. Les oligo-éléments sont les accélérateurs des métabolismes dans le sens où ils normalisent ceux qui sont pathologiquement ralentis. La régénération de fonctions, de tissus différent et la réaction adaptative de chaque individu répondent à des rythmes différents.

L'action de cette thérapeutique sera toujours progressive et générale, c'est-à-dire que l'amélioration ne se fera pas sentir seulement sur le plan des symptômes mais également sur le plan de l'état général ; chronologiquement d'ailleurs, l'état général s'améliore avant les symptômes, on dirait que les oligo-élément ont donné la possibilité à l'organisme de se débarrasser des symptômes qui le gênent. On aura plutôt l'impression que le malade s'améliore ou se guérit lui-même. On en potentialise en quelque sorte son autodéfense naturelle. Dans les affections qui évoluent depuis des années et qui ont atteint profondément des tissus tels que les os ou les cartilages, il faut bien évidemment une grande patience et beaucoup de ténacité.


L'oligothérapie, médecine de l'autodéfense


La thérapeutique catalytique s'attaque directement aux causes profondes du processus d'autodéfense. Cette autodéfense est le propre de la matière vivante à lutter contre les agressions du milieu pour sa propre conservation et sa reproduction.

Une détérioration de la santé ou une détérioration de l'autodéfense se caractérise par un manque de réactivité de l'organisme vis-à-vis d'une agression extérieure ; or, ce manque de réactivité est dépendant de l'activité dans l'organisme des catalyseurs métalliques. Lorsqu'une partie de ceux-ci est bloquée, la force d'adaptation de l'organisme se trouve diminuée et les agents extérieurs nocifs (stress, microbes, virus, etc...) pourront prendre le dessus sur l'autodéfense ; l'organisme se trouvera en été d'infériorité et réagira par des manifestations désagréables. En relançant la part bloquée des catalyseurs de l'organisme, à titre préventif, nous créons une sorte de blindage bio logique contre les maladies ; à titre curatif, on essaie d'éliminer les causes et de combler le déficit de santé déjà acquis.


Quelle est la place de l'oligothérapie dans la médecine ?


Il faut admettre que la médecine allopathique a fait de grands progrès dans les techniques de pointe, mais seulement sous l'aspect prothétique. Qu'entend-on par là ?

Si l'on ampute une jambe à quelqu'un et qu'on lui met une jambe artificielle, on lui met une prothèse. Lorsque l'on remplace les dents arrachées par un dentier, on met une prothèse. Lorsque les îlots de Langerhans ne produisent plus assez d'hormones, on fait au malade une piqûre d'insuline et le diabétique qui, avant cette découverte, devenait aveugle et mourait, peut vivre normalement à condition d'avoir sa piqûre quotidienne ; mais ceci reste encore une prothèse. Lorsque quelqu'un souffre d'insomnie, il prend un cachet et peut dormir. Les antibiotiques sont également des prothèses : si un organisme ne peut se défendre contre une infection, on chargera l'antibiotique de le faire à sa place, ce qui n'apprendra pas à l'organisme à se défendre et ne résoudra pas son problème de faiblesse face à l'infection.

L'hormonothérapie qui s'est généralisée a mis au point un grand nombre de prothèses thérapeutiques comme les hormones thyroïdiennes, génitales, hypophysaires, la cortisone, etc...

Les progrès de la chimie ont permis d'étudier un grand nombre de substances biologiques et de les reconstituer artificiellement. Au point de vue thérapeutique, la chimiothérapie, c'est-à-dire l'application de substances synthétisées qui se substituent aux substances naturelles, les modifient, les recombinent ou les inhibent, a ouvert de larges horizons médicaux qui font croire que tout l'avenir thérapeutique est dans ce système.

On dirait que le rêve de la recherche ne porte que sur ces substances de synthèse qui tendent à remplacer des autodéfenses déficientes, mais à condition d'en faire une utilisation journalière, puisque cette méthode s'attaque aux symptômes et non aux causes profondes.

Il faut relever que pour l'industrie pharmaceutique il est beaucoup plus intéressant d'exploiter ces substances synthétiques car elle présentent un avantage primordial sur les applications d'oligo-éléments : elles sont brevetables. En effet, personne ne peut breveter le magnésium, le fer, le cuivre qui, par définition, sont des éléments faisant partie de la nature et appartenant à tout le monde.

Jean-Claude Thimoléon
(Extrait de la formation professionnelle en médecine orthomoléculaire)
© Jean-Claude THIMOLÉON JOLY
reproduction intégrale interdite, tout extrait doit citer mon site www.theraneo.com/thimoleon

Mots clés : oligo-éléments,orthomoléculaire,maladies,terrain

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